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Jeu de rôle sur table — Jouer, créer/Qu'est-ce que le jeu de rôle ?

Un livre de Wikilivres.

Vous vous demandez peut-être « qu’est-ce que le jeu de rôle ? », ou bien vous le savez, mais vous ne savez pas comment l’expliquer, le présenter à d’autres.

Les jeux de rôle sont des jeux simples à jouer, mais compliqués à expliquer. Pour paraphraser saint Augustin : « Qu’est-ce donc que le jeu de rôle ? Si personne ne me le demande, je le sais. Mais si on me le demande et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus. »

« — On fait souvent des explications du JdR à destination des débutants en s’inquiétant de ce que vont en comprendre les seules personnes à qui ce n’est pas adressé :-)
— C’est pour ça qu’on trouve des trucs comme “Le jeu de rôle est un loisir discursif dans lequel les participants interprètent un ou plusieurs personnages dans un espace fictif collectivement élaboré”. Inattaquable, mais horrible. »

— Jérôme « Brand » Larré et Benjamin Kouppi, le « 3 avril 2020 » sur Facebook

La manière la plus simple de découvrir le jeu est d’y jouer ou, à défaut, de regarder des parties filmées (actual plays). Citons par exemple les chaînes YouTube :

Mais si vous avez besoin d’une définition, soit parce que vous devez expliquer oralement la pratique, soit pour réfléchir à ce qu’est le jeu de rôle, vous pouvez lire ce qui suit.

Explication par analogie

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Une première approche consiste à le comparer à d’autre jeux[4] :

  • c'est comme les jeux d’enfants « on dirait qu'on serait… » ; mais contrairement à ces jeux spontanés, il y a en général des règles écrites et une personne, appelée « meneur de jeu » (MJ), pour gérer les intervention des joueuses et pour poser un cadre au début (objectif de l'aventure) ;
  • pour les personnes jouant à des jeux de société : le jeu de rôle est un jeu de société consistant à vivre une aventure, et dans lequel on « incarne un pion » ; il n’y a ni tablier (tablier, littéralement « petite table », est le vrai nom de ce que l'on appelle couramment le plateau de jeu), ni pion, tout se fait par le dialogue ; un joueur particulier appelé « meneur de jeu » (MJ) décrit le cadre dans lequel évoluent les personnages (le tablier de jeu est donc virtuel, dans la tête des joueurs et joueuses) ;
  • pour les personnes jouant aux jeux vidéo : c’est comme un RPG[5], sauf que c’est un joueur qui remplace l’ordinateur ; au lieu d’une image sur un écran, c’est ce joueur particulier, appelé « meneur de jeu » (MJ), qui décrit ce que voient les personnages ;
  • pour les personnes connaissant les livres-jeux du type « livre dont vous êtes le héros » : c’est comme un livre-jeu, sauf que c’est un joueur qui remplace le livre ; ce joueur est appelé « meneur de jeu » (MJ).

On peut aussi le comparer à d’autres médias[6] :

  • les joueurs incarnent les personnages d’un roman ou d’un film et peuvent en modifier le cours par leurs actions ; les joueurs indiquent ce que font les personnages ; le cadre (décor) et les autres personnages (protagonistes, antagonistes, figurants) sont gérés par un joueur particulier appelé « meneur de jeu » (MJ) ;
  • c’est un jeu à la croisée de la veillée-conte et du théâtre d’improvisation ; les joueurs incarnent chacun un personnage qui interagit avec un univers décrit par un conteur, le « meneur de jeu » (MJ) ; par le dialogue, les participants œuvrent ensemble pour créer une histoire, l’aventure que vont vivre les personnages.

Vous noterez que l’on fait référence à des « personnages vivant une aventure » et à un joueur particulier, le « meneur de jeu » (MJ). Nous nous plaçons là dans le cadre des jeux de rôle dits « classiques ». Il existe d’autres manières de jouer, mais dans un premier temps, nous retenons celle-là car c’est la plus courante.

Explication par l’exemple

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La manière la plus simple d’expliquer ce qu’est le jeu de rôle est d’y faire jouer. On peut faire jouer une micro-séquence de quelques minutes en proposant aux auditeurs (ou lecteurs) d’imaginer une situation et de répondre à la question : « que faites-vous ? »

« Imaginons que demain vous vous endormez et vous vous réveillez dans ce qui vous semble être le Moyen Âge. Vous vous apercevez que vous êtes à Paris dans une famille protestante le soir de la Saint-Barthélémy. Vous êtes dans une famille, vous mangez avec eux. Vous entendez que ça tambourine à la porte, il y a vraiment du bruit dehors. Qu’est-ce que vous faites ?

Si vous êtes capables de vous projeter et de vous dire « qu’est-ce que je fais », vous êtes capables de faire du jeu de rôle.

[…] Qui laisserait l’enfant ouvrir la porte ? Levez la main […] Qui empêcherait l’enfant d’ouvrir la porte ?… Et qui ferait autre chose ?

À partir de ce choix qui a l’air tout simple, on va déjà créer plein d’histoires différentes.

[Une différence majeure par rapport au jeu de rôle :] dans cet exemple-là, je vous ai demandé ce que vous vous feriez. Le principe du jeu de rôle a priori, c’est que ce n’est pas forcément ce que vous vous feriez mais ce qu’un personnage imaginaire ferait. »

— Jérôme « Brand » Larré, Le jeu de rôle, fils illégitime ou prolongement de la littérature de jeunesse ?[7]

Dans l’idéal, l’exemple doit évoquer des choses aux auditeurs ou lecteurs — ici, le public doit savoir ce qu’est la Saint-Barthélémy — tout en étant moralement acceptable — utiliser une actualité récente peut provoquer des réactions de rejet[8]. On peut par exemple utiliser un monde imaginaire connu et apprécié du public comme celui de La Guerre des étoiles/Star Wars, du Seigneur des anneaux, du Trône de fer/Game of Thrones, des super-héros Marvel…

D'ailleurs, Brand propose quelques année plus tard un autre exemple :

« — [Jérôme Larré] Prenez le thème de Blockbusters que vous préférez, […] les super-héros peut-être ?
— [Frédéric Sigrist] Oui, parfait.
— Dites-moi quel super-héros vous voulez incarner, chez Marvel par exemple ?
Wolverine !
— Wolverine, très bien. Vous êtes Wolverine, vous êtes en train de rentrer chez vous après avoir chassé des méchants, on va faire simple pour des gens qui ne connaissent pas Marvel. Et au moment où vous rentrez chez vous, votre maison a pris feu. Qui vous appelez en premier ?
— Euh… Iceman [NdT : probablement plutôt Iceberg]. Un membre de mon équipe parce que comme il est en glace, il pourra éteindre le feu plus rapidement que moi.
— Alors voilà, vous avez déjà fait du jeu de rôle, en fait vous venez d'en faire. Vous vous êtes projeté à la place d'un personnage… »

— Jérôme « Brand » Larré et Frédéric Sigrist, « Donjons et dragons, deux D à jouer ! »[9].

De nombreux jeux de rôle proposent, en guise d’introduction, le récit d'une partie qui permet de voir comment cela de passe autour de la table. On pourra par exemple consulter la plaquette « Le jeu de rôle, qu’est-ce que c’est ? » de la Fédération française du jeu de rôle (FFJdR)[10], qui contient une bande dessinée explicative[11]. Vous pouvez également lire le chapitre « Le jeu de rôle » d’Oniros[12], téléchargeable gratuitement et avec le consentement de l’auteur sur le forum Rêves d’ailleurs, section « Rêve de dragon »[13].

Certain jeux proposent un aventure dont vous êtes le héros, un mini livre-jeu. C'est le cas par exemple du Starter Set de Donjons & Dragons 4e éd. (2010)[14] ou de la Boîte de base de L'Appel de Cthulhu 7e éd. (2019)[15]

Jeu de rôle classique

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Voici quelques définitions, globalement équivalentes, du jeu de rôle dit « classique » :

« Un jeu de rôle « classique » est un jeu de société [au cours duquel] une poignée de joueurs va se rassembler autour d’une table pour interpréter leurs personnages, dans un univers donné, et dans une intrigue développée par le [meneur de jeu]. Les seules limites du jeu de rôle sont les règles du jeu et l’imagination »

—  « Icosaèdre #1 - Définition et Origines du JDR », sur Youtube, , 4 min 02 s – 4 min 21 s

« Des joueurs se réunissent autour d’une table pour une période de 3 h à 6 h. Ils créent des personnages qui seront les avatars à travers desquelles ils interagiront avec l’univers imaginaire décrit par le maître du jeu […]. Les participants œuvrent ensemble pour faire avancer le scénario. Le but est de nourrir son esprit d’imagination tout en partageant un bon moment. »

— Sacha Joubert et Florian Lafosse , Ils ont conçu un jeu de rôle fantastique[16]

« Un jeu de rôle (comme Donjons & Dragons) est un jeu de société coopératif combinant des aspects des éléments de jeux de plateau, de théâtre, de narration et de scénarisation. Habituellement, un joueur endosse le rôle de « meneur du jeu », et décrit des situations et événements qui se déroulent dans un monde fictif, où les autres joueurs font évoluer leur personnage en interprétant leurs réactions et en décrivant leurs actions.

C’est de là que vient l’expression « jeu de rôle » : les joueurs jouent un rôle pendant la partie, comme le font des acteurs sur scène — sauf que dans leur cas, ils sont assis autour d’une table et décrivent leurs actions au lieu d’en faire une représentation (comme un acteur le ferait).

Chaque jeu dispose de son propre système de règles, tout comme un jeu de plateau. Ces règles décident d’une grande part de ce qui se produit pendant une partie et servent de canevas à ce qui constitue le cœur du jeu de rôle : la créativité et la capacité des participants à trouver des solutions. »

— Martin Ralya , 10 raisons qui font que les jeux de rôles ont une influence positive sur les enfants et sur les adulte[17]

La Fédération française de jeux de rôle a adopté la définition suivante :

« Le jeu de rôle est un jeu de société coopératif. Un joueur particulier, le meneur de jeu, met en scène une aventure dans un cadre imaginaire en s’aidant d’un scénario. Les autres joueurs interprètent les personnages principaux de cette aventure. Le jeu consiste en un dialogue permanent au moyen duquel les joueurs décrivent les actions de leurs personnages. Le meneur de jeu décrit à son tour les effets de ces actions, interprète les personnages secondaires et arbitre la partie en s’appuyant sur des règles. »

—  Définitions du jeu de rôle[18]

Enfin, citons une définition un peu plus abstraite :

« un système de création d’histoire épisodique et participatif, qui comprend un nombre de règles quantifiées, et qui aide un groupe de joueurs et un meneur de jeu à déterminer comment sont résolues les interactions spontanées de leurs personnages fictifs. »

— D. MacKay , The Fantasy Role-Playing Game[19]

Les exemples les plus connus disponibles en français sont :

  • pour les univers médiévaux merveilleux (ou médiévaux-fantastiques, « medfan »), c’est-à-dire avec une technologie moyenâgeuse et faisant intervenir la magie et des animaux fantastiques :
    • Donjons & Dragons (Dungeons & Dragons) : premier jeu de rôle, créé en 1974, sa cinquième édition est sortie en français en 2017 chez l’éditeur Black Book Édition[20] puis chez Asmodee à partir de 2019[21],
      des jeux sont dérivés de ce « grand ancêtre » et proposent des boîtes d’initiation : Pathfinder et Chroniques Oubliées Fantasy, tous deux édités par Black Book Édition,
    • Tunnels & Trolls : sorti en 1975, sa version 8 est disponible en français au format électronique et en impression à le demande chez l’éditeur Grimtooth[22],
    • RuneQuest : sorti en 1978, sa version 7, appelée RuneQuest : aventures dans Glorantha est parue en français 2018 chez l’éditeur Dead Crows,
    • Rêve de dragon : sorti en 1985, sa version 2 est en cours de réédition en 2017 chez l’éditeur Sciptarium[23],
    • Dragon de poche : sorti en 2013, sa version 2 est distribué en format électronique et en impression à la demande chez l’éditeur Chibi[24] ;
  • pour la science-fiction « dans l’espace » :
    • Traveller : créé en 1977, la sixième version est publiée en français en 2010 par Mongoose Publishing
    • Star Wars : la première adaptation de cet univers date de 1987, la dernière version en date se décline en trois jeux, édités en français par Edge Entertainment depuis 2014 : Aux Confins de l'Empire, L'Ére de la Rébellion et Force et Destinée[25], il existe sous forme de boîtes d'initiation,
    • Eclipse Phase : créé en 2009 et publié en français depuis 2013 par Black Book Édition[26],
  • pour du cyberpunk
    • nanoChrome² : il est distribué en format électronique et en impression à la demande chez l'éditeur Chibi[27] ;

Jeu de rôle en général

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Les définitions précédentes font référence à un joueur particulier, appelé « meneur de jeu » (MJ), qui a une responsabilité particulière : celle de préparer un cadre et une intrigue pour la partie — le « scénario » —, de décrire l’univers imaginaire et de « mettre en scène » l’aventure. Il existe d’autres manières de jouer :

  • le cadre du jeu, le monde imaginaire, peut être développé par tous les joueurs et non pas fixé par le seul MJ ;
  • les éléments de l’intrigue peuvent, eux aussi, être développés par tous les joueurs ou bien être déterminés au hasard ;
  • le rôle de metteur en scène peut être tournant, c’est-à-dire affecté à un joueur différent à chaque scène, ou bien il peut être distribué, c’est-à-dire que chaque joueur a la responsabilité d’une partie de la mise en scène.

Initialement vu comme « les jeux descendant de Donjons & Dragons » (jeux avec un meneur de jeu, des éléments de cadre préécrits et des règles cadrant la réussite ou l'échec des actions des personnages), le jeu de rôle est en général vu depuis les années 2010 comme un continuum, un ensemble de pratiques aux contours plus ou moins net[28]. Ce continuum englobe des pratiques informelles (freeform) comme les jeux spontanés d'enfants « on dirait que… », des jeux de société très cadrés comme Les Loups-garous de Thiercelieux, des jeux prenant fortement en compte la réalité autour des joueuses comme les jeux de rôle grandeur nature (ou semi-réels), des jeux sur table mais sans meneur de jeu, des jeux en solo[29],[30]

Le jeu de rôle peut donc se définir de manière plus générale.

Romaric Briand[31] propose[32] :

« le jeu de rôle est un jeu de société dont les règles visent à l’institution d’un maelström lors de ses parties, c’est-à-dire à l’organisation d’une réflexion collective sur des situations en vue d’élaborer d’innombrables propositions au sujet du contenu fictionnel malléable de la partie. »

— Romaric Briand , « Ludinord 2015 — Conférence sur le jeu de rôle », sur Youtube,

L’auteur entend, par :

  • proposition : au sens de la philosophie analytique, une proposition est un énoncé doué de sens et qui amène à imaginer une situation ;
  • contenu fictionnel malléable : une fiction est une histoire imaginaire, mais qui est finie, statique, et qui est identique pour tous même si elle est ensuite interprétée par le récepteur (lecteur, auditeur, spectateur) ; dans le cas d’une partie de jeu de rôle, chaque joueur a son propre contenu en tête — parce qu’il a été inattentif et n’a donc pas tout entendu, parce qu’un énoncé ne lui évoque pas la même chose qu’à son voisin, parce qu’un sous-groupe s’est isolé pendant un instant pour construire sa propre histoire de son côté —, il y a donc autant de fictions qu’il y a de joueurs ; Romaric Briand préfère donc parler de contenu fictionnel, et il est malléable puisqu’il évolue au cours de la partie et que l’on peut revenir en arrière, c’est-à-dire décider a posteriori de changer un élément qui avait été considéré comme acquis ; ce dernier point le distingue des jeux d’enfants[33] ;
  • maelström : le terme désigne un procédé de réflexion collective, chacun faisant des propositions pour créer un contenu accepté par tous ; lors d’une partie, les joueurs imaginent des situations qui vont amener à en créer d’autres, donc ces situations sont problématiques ; à partir d’une situation, chaque joueur va imaginer ce qui peut se passer après, ce que Romaric Briand appelle le brainstorm, et le maelström est l’ensemble des brainstorms créés par une situation problématique.
  • [Briand 2014] Romaric Briand, Le Maelstrom : articles et entretiens 2006-2014, Saint-Malo, autoédité, , 302 p. (ISBN 978-2-9536333-6-8, présentation en ligne)
  • [Caïra 2019] Olivier Caïra, « Jeux de rôle sur table : une création de monde à trois niveaux », dans Revue de la BNF, Paris, Bibliothèque nationale de France, vol. 2, no 59 « Worldbuilding. Création de mondes et imaginaires contemporain », 2019, p. 89-95 [lien DOI] 
  1. « Rôle’n Play épisode 0 : Introduction », sur YouTube, Rôle’n Play, (consulté le 20 avril 2020).
  2. « Aventures #0 — Tutoriel des Jeux de rôle Papier », sur YouTube, Bazar du Grenier, (consulté le 20 avril 2020).
  3. « Game of Rôles : Le début de nos aventures ! | S01E01 », sur YouTube, JVTV, (consulté le 20 avril 2020).
  4. lire par exemple Johan Scipion, « Briefing », dans Sombre, Vitry-sur-Seine, Terres Etranges, no 2, septembre 2012, p. 29–46 (ISBN 978-2-9552-9201-3)(ISSN 2118-1411) 
  5. roleplaying game
  6. voir par exemple :
  7. Jérôme Larré, « Le jeu de rôle, fils illégitime ou prolongement de la littérature de jeunesse ? », sur YouTube, , de 5 min 38 à 7 min 57 ; Colloque de l’UFR Lettres, Langues, Sciences humaines et des Sociétés
  8. On parle bien ici de la présentation du jeu ; dans le cadre d’une partie avec des joueurs avertis, il est tout à fait possible d’enfreindre les codes moraux comme le font d’autres œuvres (romans, films, séries télévisées).
  9. « Blockbusters : Donjons et dragons, deux D à jouer ! », sur France Inter, (consulté le 12 juillet 2020), de 19 min 43 à 21 min 14.
  10. « Définitions du jeu de rôle.Télécharger la plaquette de présentation « Qu’est-ce que le jeu de rôle » », sur FFJdR, (consulté le 8 janvier 2016)
  11. Didier Guiserix, Casus Belli
  12. Denis Gerfaud, Oniros, Multisim, (ISBN 2-909934-14-4), p. 20–32
  13. Il faut pour cela s’inscrire sur le forum : « Oniros », sur Rêves d’ailleurs,
  14. (en) James Wyatt et al., Starter Set, Wizards of the Coast, coll. « Dungeons & Dragons Essentials », (ISBN 978-0-7869-5629-6).
  15. Lynn Willis et al., L'Appel de Cthulhu : boîte de base, Edge Entertainment, (présentation en ligne).
  16. « Ils ont conçu un jeu de rôle fantastique », dans Ouest France, 16 avril 2016 [texte intégral] 
  17. Martin Ralya, « 10 raisons qui font que les jeux de rôles ont une influence positive sur les enfants et sur les adultes », sur Ptgptb,
  18. « Définitions du jeu de rôle », sur FFJdR, (consulté le 11 mai 2016)
  19. « an episodic and participatory story-creation system that includes a set of quantified rules that assist a group of players and a gamemaster in determining how their fictional characters’ spontaneous interactions are resolved » ; D. MacKay, The Fantasy Role-Playing Game, London, McFarland & Company,
  20. « Dungeons & Dragons 5 », sur Black Book Éditions (consulté le 20 juin 2017)
  21. « Dungeons & Dragons : version française », sur Novalis (consulté le 12 juillet 2020).
  22. http://tunnels-et-trolls.eu/
  23. « Rêve de dragon », sur Scriptarium (consulté le 20 juin 2017)
  24. « Dragon de poche² », sur Le Terrier du Grümph (consulté le 20 juin 2017)
  25. http://www.edgeent.com/
  26. « Eclipse Phase », sur Black Book Éditions (consulté le 20 juin 2017)
  27. « nanoChrome² », sur Le Terrier du Grümph (consulté le 25 septembre 2017)
  28. « « C’est pas du JDR », ou le continuum du rôle », sur Qui revient de loin, (consulté le 22 décembre 2023).
  29. « Introduction au jeu de rôle en solitaire », sur CyberConv sur Twitch, (consulté le 16 avril 2020).
  30. Pierre Gavard-Colenny, « Le Petit Guide du jeu de rôle en solo », sur OnirArts, (consulté le 24 avril 2020)
  31. philosophe et créateur du jeu de rôle Sens hexalogie (autoédition, 2007)
  32. Briand 2014, p. 239-282
  33. Romaric Briand, « Le Jeu de Rôle Papier, analyse des spécificités de cette famille de jeu », sur YouTube, (3 min 49-6 min 01), Stunfest (Rennes), mai 2014.

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