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PRISSETTE, Jean .- La cellule photoélectrique Soligor .- In : Photo-Ciné-Revue, avril 1968, pp. 166-167
PRISSETTE, Jean .- La cellule photoélectrique Soligor .- In : Photo-Ciné-Revue, avril 1968, pp. 166-167

[[Catégorie:Photographie (livre)|Fabricants]]

Version du 29 janvier 2010 à 18:44

Description

Fichier:Cellule photoélectrique spot Soligor (1968).jpg
Soligor Spot Sensor

La cellule Soligor Spot Sensor, mise sur le marché en 1968, permet une analyse très poussée des luminances des sujets, en raison de sa caractéristique essentielle : un angle de champ très étroit, de 1° seulement.

Bien que son aspect rappelle celui des anciennes caméras Super-8, elle est en réalité constituée d'un viseur à prisme en toit analogue à celui des appareils reflex et d'un objectif donnant à peu près le champ d'un 100 mm monté sur un appareil 24 x 36.

Dans le viseur apparaissent l'aiguille d'un galvanomètre et deux échelles correspondant à deux niveaux de sensibilité ; la première est graduée de 3 à 10 (haute sensibilité, faibles luminances) et la seconde de 10 à 18 (sensibilité plus faible, hautes luminances. L'échelle des sensibilités va de 6 à 12.800 ISO, celle des diaphragmes de f/1 à f/128, celle des temps de pose de 30 minutes à 1/4.000 s.

L'alimentation électrique nécessite deux piles de type Mallory RM 625 ou équivalentes.

Bibliographie

PRISSETTE, Jean .- La cellule photoélectrique Soligor .- In : Photo-Ciné-Revue, avril 1968, pp. 166-167