« Photographie/Finition et présentation des photographies/Projection des photographies numériques » : différence entre les versions
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Les appareils de la seconde génération sont capables de projeter des images de 1.024 x 768 pixels, ou 1.280 x 1.024 pixels pour les plus perfectionnés, ce qui est évidemment beaucoup mieux, mais 1.204 x 768 = 786.732, soit moins de 0,8 Mpixels ; ce n'est donc pas encore, loin s'en faut, de la haute définition. En revanche, les prix sont devenus plus abordables. Il reste toutefois le problème des lampes de rechange, dont le prix est généralement de plusieurs centaines d'euros. Heureusement, elles ont une longue durée de vie ! |
Les appareils de la seconde génération sont capables de projeter des images de 1.024 x 768 pixels, ou 1.280 x 1.024 pixels pour les plus perfectionnés, ce qui est évidemment beaucoup mieux, mais 1.204 x 768 = 786.732, soit moins de 0,8 Mpixels ; ce n'est donc pas encore, loin s'en faut, de la haute définition. En revanche, les prix sont devenus plus abordables. Il reste toutefois le problème des lampes de rechange, dont le prix est généralement de plusieurs centaines d'euros. Heureusement, elles ont une longue durée de vie ! |
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== Un piège classique == |
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Beaucoup de photographes s'y laissent prendre, y compris les plus chevronnés : |
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Les images numériques qui comportent de vastes zones noires en périphérie ont tendance à se fondre dans le décor lorsqu'on les ouvre sur un fond noir ou lorsqu'on les projette. Un mince liséré, par exemple 2 pixels blancs ou mieux gris clair, permet alors de bien les délimiter. De même, il ne faut jamais entourer de noir une photo destinée à la projection, puisqu'une telle bordure disparaîtrait purement et simplement, tandis que l'image serait réduite. |
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Il en résulte que pour participer à des salons ou concours photographiques dans lesquels les organisateurs demandent à la fois des fichiers en basse résolution (généralement 1 024 x 768 pixels) pour le jugement et des fichiers haute résolution pour le catalogue et/ou les tirages qui seront exposés, il faut adapter chacun des deux fichiers à ce que l'on en attend ; de ce fait le "petit" fichier ne doit généralement pas être une simple copie réduite du "grand". |
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Version du 6 janvier 2010 à 13:40
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Fabricants et marques de produits et de matériels Personnalités du monde de la photographie Éditeurs de cartes postales photographiques Thèmes ▪
Bibliographie
■ préface - SOMMAIRE COMPLET ■ notions fondamentales et conseils pour les débutants ■ aspects esthétiques, thèmes photographiques ■ références scientifiques ■ photométrie, colorimétrie, optique ■ appareils, objectifs, éclairage, accessoires, entretien ■ procédés chimiques ■ procédés numériques ■ caractéristiques physiques des images, densité, netteté ■ compléments techniques et pratiques ■ photographie et vie sociale, histoire, enseignement,institutions, droit... |
Généralités
Le lecteur qui ne l'aurait pas encore fait pourra lire au préalable le chapitre relatif au montage sous passe-partout, dans lequel sont expliquées certaines notions sur lesquelles nous ne reviendrons pas ici :
pour en savoir plus : Montage sous passe-partout
Les fichiers numériques ne sont pas seulement destinés à être regardés sur un écran d'ordinateur ou tirés sur papier, on peut aussi les projeter sur un écran à l'aide d'un vidéo projecteur.
Les premiers vidéo projecteurs étaient des appareils très coûteux et dotés de performances modestes. La projection d'une image de 800 x 600 pixels, soit 0,48 Mpixels, ne pouvait évidemment pas rivaliser avec la projection d'une diapositive à l'aide d'un projecteur classique, même médiocre. L'image n'avait qu'une faible définition (il s'agit, rappelons-le, du nombre total de pixels) et il fallait se tenir suffisamment loin de l'écran pour ne pas percevoir le découpage de l'image en petits éléments disjoints.
Les appareils de la seconde génération sont capables de projeter des images de 1.024 x 768 pixels, ou 1.280 x 1.024 pixels pour les plus perfectionnés, ce qui est évidemment beaucoup mieux, mais 1.204 x 768 = 786.732, soit moins de 0,8 Mpixels ; ce n'est donc pas encore, loin s'en faut, de la haute définition. En revanche, les prix sont devenus plus abordables. Il reste toutefois le problème des lampes de rechange, dont le prix est généralement de plusieurs centaines d'euros. Heureusement, elles ont une longue durée de vie !
Un piège classique
Beaucoup de photographes s'y laissent prendre, y compris les plus chevronnés :
Les images numériques qui comportent de vastes zones noires en périphérie ont tendance à se fondre dans le décor lorsqu'on les ouvre sur un fond noir ou lorsqu'on les projette. Un mince liséré, par exemple 2 pixels blancs ou mieux gris clair, permet alors de bien les délimiter. De même, il ne faut jamais entourer de noir une photo destinée à la projection, puisqu'une telle bordure disparaîtrait purement et simplement, tandis que l'image serait réduite.
Il en résulte que pour participer à des salons ou concours photographiques dans lesquels les organisateurs demandent à la fois des fichiers en basse résolution (généralement 1 024 x 768 pixels) pour le jugement et des fichiers haute résolution pour le catalogue et/ou les tirages qui seront exposés, il faut adapter chacun des deux fichiers à ce que l'on en attend ; de ce fait le "petit" fichier ne doit généralement pas être une simple copie réduite du "grand".
mais chacun peut y travailler s'il le désire !
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