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== Louis XV — La guerre de sept ans ==
== Louis XV — La guerre de sept ans ==
;Prospérité de la France
La France se releva des malheurs de la guerre. L'industrie prit un grand essor : les soieries, les draps fins, les tapisseries, les porcelaines étaient recherchés partout ; l'Europe, pour vivre « à la française », faisait la fortune du commerce. L'agriculture avait trouvé un puissant stimulant dans l'arrêté qui autorisait la libre circulation des grains. Le Canada, la Louisiane entretenaient d'actives relations avec les ports de l'océan atlantique ; Dupleix avait conquis tout le territoire qui relie Pondichéry à Chandernagor.
;Jalousie de l'Angleterre
Cette renaissance maritime et commerciale inquiéta l'Angleterre. En même temps qu'elle s'unissait à l'ambitieux Frédéric II contre Marie-Thérèse, elle demanda à la France le rappel de Dupleix (1754), détruisit plusieurs forts du Sénégal, et déclara la guerre en enlevant des navires marchands. La France répondit à cette agression en envoyant le maréchal de Richelieu conquérir Minorque, possession anglaise dans les Baléares (1756).
;Guerre de Sept ans
Au lieu de consacrer toutes ses ressources à la lutte contre l'Angleterre, Louis XV commit la lourde faute de s'allier avec Marie-Thérèse qui voulait reprendre la Silésie à Frédéric II. Ainsi la guerre commença presque en même temps sur le continent, sur mer et aux colonies.
;Opérations militaires sur le continent
Les armées françaises remportèrent d'abord quelques succès en Allemagne. Richelieu obligea l'armée anglaise à capituler à Clostersevern. Mais Frédéric II, grand capitaine, se mit lui-même à la tête de ses armées, tandis que Louis XV restait à ses plaisirs et confiait ses soldats à des courtisans qui ne connaissant rien du métier militaire, se firent battre à Rosbach (1757) et à Crevelt (1758). Quelques succès furent cependant remportés à Berghen et à Clostercamp (1760).
=== Questionnaire ===
=== Questionnaire ===



Version du 5 juin 2011 à 15:02

Sommaire
Ce livre est actuellement en travaux. Tant que cet avis n'aura pas disparu, veuillez en considérer le plan et le contenu encore incomplets, temporaires et sujets à caution.
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Chapitre XI
Décadence de la monarchie
Introduction

Cette période comprend deux règnes, et s'étend de 1715 à 1789.

Minorité de Louis XV

Jeunesse de Louis XV

Louis XV est né le 15 février 1710 à Versailles. Il est le troisième fils de Louis de France, duc de Bourgogne, surnommé le Petit Dauphin, et de Marie-Adélaïde de Savoie. Il est ainsi l'arrière-petit-fils de Louis XIV. De ses deux frères aînés, également prénommés Louis, le premier (titré duc de Bretagne) mourra en 1706 à l'âge d'un an, le second (reprenant le titre de duc de Bretagne), né en 1707, ne vivra que cinq ans.

À sa naissance, en pleine guerre de succession d'Espagne, le futur Louis XV, titré duc d'Anjou — titre porté précédemment par son oncle, Philippe de France, prétendant français au trône d'Espagne et futur roi Philippe V (1700-1746) — est immédiatement confié à sa gouvernante, la duchesse de Ventadour. Il n'est alors pas destiné à régner, se plaçant au quatrième rang dans l'ordre de succession dynastique. Avant lui, doivent logiquement régner le fils de Louis XIV, le Grand Dauphin, puis son père le Petit Dauphin, et enfin son frère aîné, le duc de Bretagne. Mais entre 1710 et 1715, une série de morts dans la famille royale met brusquement le jeune prince en première ligne dans la succession de Louis XIV : le Grand Dauphin meurt de la variole le 14 avril 1711. L'année suivante, une « rougeole maligne » emporte le Petit Dauphin et son épouse les 18 et 12 février 1712.

Les deux fils aînés du duc de Bourgogne, les ducs de Bretagne et d'Anjou, contractent également la maladie. L'aîné, Bretagne, meurt le 8 mars 1712. Le jeune duc d'Anjou, âgé alors d'à peine deux ans, devient alors l'héritier du trône de France avec le titre de Dauphin du Viennois, abrégé en Dauphin. Malade, sa santé est scrutée avec attention par Louis XIV, roi vieillissant et suffisamment affecté par les pertes familiales récentes pour se laisser aller à pleurer devant ses ministres. On craint longtemps pour la santé du jeune prince, mais, petit à petit, il se remet, soigné par sa gouvernante et protégé par elle des abus de saignées qui ont vraisemblablement causé la mort de son frère.

En 1714, Louis est confié à un précepteur, l'abbé Perot. Celui-ci lui apprend à lire et à écrire, et lui enseigne des rudiments d'histoire et de géographie et, bien sûr, lui donne l'enseignement religieux nécessaire au futur « roi très chrétien ». En 1715, le jeune dauphin reçoit également un maître à danser, puis un maître à écrire. Son confesseur est le père Le Tellier. En 1717, ayant atteint l'âge de raison, son éducation est désormais confiée à un gouverneur, le duc de Villeroy, et à un précepteur, André Hercule de Fleury, évêque de Fréjus. On lui apprend désormais le latin, les mathématiques, la cartographie, le dessin et des rudiments d'astronomie, mais, aussi, on lui enseigne à chasser. L'éducation manuelle n'est pas non plus négligée : en 1717, il apprend un peu de typographie, et en 1721, il s'initie à tourner le bois. Depuis 1719, il avait des maîtres de musique. Contrairement à Louis XIV, il n'avait que peu d'affinités pour la musique mais était attiré par l'architecture.

Régence du duc d’Orléans

Le testament de Louis XIV établissait un conseil de régence ; le parlement cassa le testament et donna la régence au duc d’Orléans.

Finances

Les finances étaient en désordre : les guerres du règne précédent laissaient une dette de plus de deux milliards ; il fallait porter remède à ce problème. Le duc d'Orléans accorda sa confiance à l'Écossais Law, qui fonda une banque (1716) dont les opérations furent d'abord heureuses ; mais l'essai tenté sans prudence aboutit bientôt à la banqueroute.

Système de Law

D'après le système de Law, la monnaie d'or et d'argent, qui était rare, devait être remplacée par un papier monnaie dont la valeur serait garantie par l'État. Law fut donc autorisé à fonder une banque, puis une compagnie qui eut le monopole du commerce[1] de la Louisiane, du Mississipi et des Indes. Cette entreprise eut d'abord un grand succès ; chacun voulait avoir des actions de la banque et de la Combapigne, et ce qui s'était acheté 500 livres se vendit bien plus, vers 20 000 livres. Mais toutes ces fortunes consistaient en papiers. Des gens voulurent échanger leurs actions contre de l'or ; on s'aperçut bien vite qu'il n'y avait pas assez de numéraire pour rembourser tout le monde. Ce fut alors un désastre ; Law s'enfuit à l'étranger.

Guerre contre l'Espagne

Cellamare, ambassadeur d'Espagne à Paris, avait formé une conspiration pour enelever la régence au duc d'Orléans, mais le ministre Dubois la découvrit (1717). Le régent conclut aussitôt une quadruple alliance avec l'Angleterre, la Hollande et l'Empire ; une armée de 30 000 hommes passa les Pyrénées et châtia les Espagnols. Philippe V demanda la paix et promit la main de l'infante d'Espagne au jeune Louis XV.

La peste de Marseille

En 1720, la peste désola la Provence et enleva plus de 80 000 personnes. Louis XV fut déclaré majeur en 1723. Dubois mourut ; le duc d'Orléans ne tarda pas à le suivre au tombeau.

Questionnaire

  1. Qui succéda à Louis XIV ? Comment fut élevé le jeune roi ?
  2. À qui fut confié la régence ?
  3. Que fit le régent pour améliorer les finances ?
  4. Quel fut le résultat de cette tentative ?
  5. Pourquoi la guerre fut-elle déclarée à l'Espagne ? Qu'est-ce que la quadruple alliance ?
  6. Quel fléau marqua l'année 1720 ? En quelle année le roi fut-il déclaré majeur ?

Louis XV — Le cardinal Fleury

Subdivisions du règne

Outre la Régence, le règne de Louis XV comprend quatre parties :

  1. le ministère de Bourbon (1723-1726) ;
  2. le ministère de Fleury (1726-1743) ;
  3. le gouvernement personnel (1743-1761) ;
  4. le ministère de Choiseul et les dernières années (1761-1774).
Ministère de Bourbon

Louis XV, au lieu de gouverner par lui-même, donna sa confiance au duc de bourbon[2], homme avide. Le nouveau ministre persécuta les protestants, aggrava le désordre des finances, mécontenta l'Espagne par le renvoi de l'infante, et faillit faire éclater une guerre en Europe en faisant épouser à Louis XV la fille de Stanislas Leczinsky, roi détrôné de Pologne (1725).

Ministère du cardinal Fleury

Après trois ans de ministère, le duc de Bourbon fut disgracié et remplacé par le cardinal Fleury, évêque de Fréjus, ancien précepteur de Louis XV. Ce vieillard de soixante-douze ans fit des économies, développa le commerce et l'industrie et gouverna la France dix-sept ans. Les navires marchands français se montrèrent sur toutes les mers, et les colonies d'Amérique et d'Asie se développèrent. Mais bientôt les événements vinrent troubler la paix.

Guerre de la succession de Pologne

La première guerre éclata en Pologne (1733). À la mort d'Auguste II, les Polonais élurent pour la seconde fois Stanislas Leczinski, que Louis XV essaya de soutenir. L'Autriche et la Russie lui opposèrent Auguste III, électeur de Saxe et fils d'Auguste II. La guerre commencée entre ces trois puissances se compliqua bientôt par l'intervention de l'Espagne qui s'unit à la France. Berwick assiégea et emporta Philipsbourg ; Villars conquit le Milanais ; les Espagnols s'emparèrent de Naples ; mais Stanislas fut vaincu en Pologne et perdit son trône.

Traité de Vienne

Le traité de Vienne (1738) termina la guerre. La Lorraine fut donnée à Stanislas, et il fut stipulé que cette province reviendrait à la France après sa mort ; l'Espagne recouvra le royaume des Deux-Siciles. « Après cette paix de vienne, avoue Frédéric de Prusse, la France était l'arbitre de l'Europe ».

Guerre de succession d'Autriche

La paix était à peine rétablie qu'elle fut de nouveau troublée par la mort de Charles VI, empereur d'Allemagne. Ce prince, par un acte connu sous le nom de pragmatique sanction, léguait ses vastes États à sa fille Marie-Thérèse. Mais le roi de Pologne, le roi d'Espagne et l'électeur de Bavière réclamèrent l'Empire qui était électif ; Frédéric II, roi de Prusse, voulait la Silésie.

La France, qui détestait l'Autriche, se déclara pour l'électeur de Bavière et fit alliance avec la Saxe, l'Espagne et la Prusse. Cette guerre se divise en deux parties.

Première période

La première période commence en 1741 par des succès et finit par des revers. L'armée française commandée par Maurice de Saxe, passé au service de la France, envahit la Bohême et s'empara de Prague, pendant que Frédéric II occupait la Silésie et menaçait Vienne.

Revers

Marie-Thérèse voyant sa capitale menacée, elle se retira dans ses États de héréditaires de Hongrie et fit appel au dévouement des grands qui jurèrent de la défendre. À partir de ce moment, la fortune change pour elle : elle détache Frédéric de la coalition en lui cédant la Silésie ; la Saxe et la Sardaigne se retirent également.

D'autre part, l'Angleterre, la Russie, la Hollande embrassent sa cause. Devant tant d'ennemis, le maréchal de Belle-Isle, qui avait remplacé Maurice de Saxe, est obligé d'évacuer Prague et la Bohême, et d'opérer une pénible retraite sur le Rhin où il essuie encore un désastre à Dettengen.

Fleury mourut en 1743, pendant que ce produisaient ces revers, et Louis XV manifesta l'intention de gouverner par lui-même.

2e période

Se voyant dans une situation critique, la France proposa la paix ; mais Marie-Thérèse la refusa. Alors le maréchal de Saxe, quoique souffrant, prit la direction des opérations militaire et gagna à Fontenoy en 1745, ce qui sauva la situation.

Victoire de Fontenoy

L'armée française envahit les Pays-Bas et rencontra à Fontenoy les armées combinées de l'Angleterre, de la Hollande et de l'Autriche. La première décharge des Anglais coucha par terre toute la première ligne française : le désordre se mit dans les rangs. Les Anglais formant une colonne compacte, avançaient toujours, résitant à tous les chocs et ouvrant de temps en temps leurs flancs pour laisser tirer leurs canons. La victoire, longtemps disputée, se décida pour les Français.

Nouvelles victoires

La lutte se continue aux Pays-Bas, en Italie et sur mer. La marine française, trop faible, lutte contre la marine anglaise et remporte quelques succès, mais plusieurs défaites ; en Italie, les victoires et les défaites se compensent ; mais c'est en Hollande que les grands coups sont donnés. Les victoires de Raucoux (1746) et de Lawfeld (1747), la prise d'un grand nombre de villes, entre autres, Maastricht et Bergop-Zoom, contraignent les ennemis à signer la paix.

Traité d'Aix-la-Chapelle

Par le traité d'Aix-la-Chapelle (1748), l'époux de Marie-Thérèse, François de Lorraine, est reconnu empereur d'Allemagne, la Prusse garde la Silésie, tandis que la France rendit toutes ses conquêtes. C'est ce que Louis XV appelait « traiter en roi et non en marchand ».

Questionnaire

  1. Comment peut-on subdiviser le règne de Louis XV ?
  2. Qui Louis XV prit-il d'abord pour premier ministre ?
  3. Qui succéda au duc de Bourbon ? Que devint la France sous ce gouvernement ?
  4. Quelles furent les causes de la guerre de succession de Pologne ?
  5. Quelles furent les conditions du traité de Vienne ?
  6. Qu'est-ce qui amena la guerre de la succession d'Autriche ? Quels furent les alliés de la France ?
  7. Quels furent les premiers événements de cette guerre ?
  8. Quels revers éprouva ensuite la France ? Quelles puissances se tournèrent contre elle ?
  9. Quelle est la principale victoire de la seconde période ?
  10. Contre qui combattaient les Français à Fontenoy ?
  11. Quels furent les autres avantages remportés aux Pays-Bas ? Où la guerre continuait-elle ?
  12. Quelles furent les conditions du traité d'Aix-la-Chapelle ?

Louis XV — La guerre de sept ans

Prospérité de la France

La France se releva des malheurs de la guerre. L'industrie prit un grand essor : les soieries, les draps fins, les tapisseries, les porcelaines étaient recherchés partout ; l'Europe, pour vivre « à la française », faisait la fortune du commerce. L'agriculture avait trouvé un puissant stimulant dans l'arrêté qui autorisait la libre circulation des grains. Le Canada, la Louisiane entretenaient d'actives relations avec les ports de l'océan atlantique ; Dupleix avait conquis tout le territoire qui relie Pondichéry à Chandernagor.

Jalousie de l'Angleterre

Cette renaissance maritime et commerciale inquiéta l'Angleterre. En même temps qu'elle s'unissait à l'ambitieux Frédéric II contre Marie-Thérèse, elle demanda à la France le rappel de Dupleix (1754), détruisit plusieurs forts du Sénégal, et déclara la guerre en enlevant des navires marchands. La France répondit à cette agression en envoyant le maréchal de Richelieu conquérir Minorque, possession anglaise dans les Baléares (1756).

Guerre de Sept ans

Au lieu de consacrer toutes ses ressources à la lutte contre l'Angleterre, Louis XV commit la lourde faute de s'allier avec Marie-Thérèse qui voulait reprendre la Silésie à Frédéric II. Ainsi la guerre commença presque en même temps sur le continent, sur mer et aux colonies.

Opérations militaires sur le continent

Les armées françaises remportèrent d'abord quelques succès en Allemagne. Richelieu obligea l'armée anglaise à capituler à Clostersevern. Mais Frédéric II, grand capitaine, se mit lui-même à la tête de ses armées, tandis que Louis XV restait à ses plaisirs et confiait ses soldats à des courtisans qui ne connaissant rien du métier militaire, se firent battre à Rosbach (1757) et à Crevelt (1758). Quelques succès furent cependant remportés à Berghen et à Clostercamp (1760).

Questionnaire

Louis XV — Le ministre Choiseul

Questionnaire

Louis XV — Guerre d'Amérique

Questionnaire

État de la France en 1789

Questionnaire

Questions de récapitulation

Première partie

  1. Quel âge avait Louis XV en montant sur le trône ?
  2. Qui fut régent ?
  3. Quelle fut la cause de la guerre de Pologne ?
  4. Parlez de Choiseul.
  5. Quelles acquisitions fit la France sous son ministère ?
  6. Racontez ce que vous savez du Canada.
  7. Dites ce que vous savez de Turgot.
  8. Dans quel état se trouvait la France en 1789 ?

Deuxième partie

  1. Quels sont les principaux faits de l'histoire de la régence ?
  2. Quelle princesse épousa Louis XV ?
  3. Quelles sont les principales guerres du règne de Louis XV ?
  4. Racontez la bataille de Fontenoy.
  5. Quels sont les plus célèbres écrivains du XVIIIe siècle ?
  6. Pourquoi Louis XVI convoqua-t-il les états généraux ?
  7. Quels étaient les impôts sous l'ancien régime ?

Tableau synoptique des guerres de Pologne et d'Autriche, sous Louis XV

Tableau synoptique de la guerre de sept ans et de la guerre d'Amérique

Notes

  1. Monopole du commerce : droit de faire seul le commerce.
  2. Duc de Bourbon ou prince de Condé : le petit-fils du grand Condé.