« Photographie/Colorimétrie/Le système RGB » : différence entre les versions

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: <math>L_W = L_R + L_G + L_B</math>
: <math>L_W = L_R + L_G + L_B</math>


On constate alors que ces trois luminances sont entre elles dans les proportions suivantes :


: <math>L_G = 4,591 L_R \;</math> et <math>L_B = 0,060 L_R \;</math>

Si l'on adopte une luminance du rouge égale à une candela par mètre carré, alors :

: <math>L_R = 1 \; cd/m^2</math>
: <math>L_G = 4,591 \; cd/m^2</math>
: <math>L_B =0,060 \; cd/m^2</math>




{{En travaux}}
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_ _j mais on peut encore constater que les trois luminances des primaires sont entre
g elles dans les proportions suivantes :
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_ 3 LG - 4,591 LR et LB = 0,060 LR,
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§ 1 LW = LR + LG + LB = 1 + 4,591 + 0,060 = 5,651 cd/mz
_§ C'est-5-dire encore que 1 lm de lumiére W nécessitera :
_§ C'est-5-dire encore que 1 lm de lumiére W nécessitera :
M 1 4 591 0 060
M 1 4 591 0 060

Version du 20 mars 2012 à 14:43

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La Commission internationale de l'éclairage

La Commission internationale de l'éclairage (CIE) (en anglais International Commission on Illumination ; en allemand Internationale Beleuchtungskommission) est une organisation internationale fondée à Berlin en 1913 et actuellement basée à Vienne, en Autriche.

Cette commission a été créée pour caractériser rationnellement les couleurs des lumières telles que les voit le cerveau humain. Pour ce faire elle a mené des expériences systématiques de comparaison de couleurs par de nombreux observateurs de manière à définir un observateur moyen.

Les bases

À la suite des travaux de Guild et Wright, la CIE a proposé en 1931 de créer un système colorimétrique partant de trois couleurs primaires ainsi définies :

  • un rouge (R) de longueur d'onde 700,0 nm, provenant d'une lampe à incandescence munie d'un filtre normalisé,
  • un vert (G) de longueur d'onde 546,1 nm correspondant à l'une des raies spectrales émises par l'arc au mercure
  • un bleu (B) de longueur d'onde 435,8 nm issu lui aussi du spectre du mercure.

Ces trois primaires ont fourni le nom du système R G B , souvent francisé en R V B.

Il faut d'abord réaliser, dans un colorimètre, l'égalisation d'un blanc de référence en ajoutant les luminances de trois rayonnements. Avec comme référence le blanc équiénergétique émis par l'illuminant W, cette égalisation est telle que :

On constate alors que ces trois luminances sont entre elles dans les proportions suivantes :

et

Si l'on adopte une luminance du rouge égale à une candela par mètre carré, alors :


En travauxlink={{{link}}}

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_§ C'est-5-dire encore que 1 lm de lumiére W nécessitera : M 1 4 591 0 060 G ———= lj.-: ..l....—.= g 5,651 0,177 lm (R), 5,651 0,812 lm (G), 5,65] 0,011 lm (B) o B Nous allons maintenant définir trois cggpgsante§_tricbrggatique§ telles ·: que leur mélange en quantités égales donne le blanc W : W —-_ — _ G —-= B g P"LR’ G 4,591’ B 0,060* ig Ce qui revient a définir trois échelles de luminances, une pour chaque g primaire, celle du rouge restant seule alignée sur la definition classique. On 8 surligne (ce n'est pas obligatoire) pour préciser, le cas échéant, que le blanc rg de référence est de type W. M 1 Naturellement, pour chaque couleur C on définira de la méme maniere que ci-dessus les trois composantes R, G, B, qui permettent de l'identifier. 5 C'est ainsi que pour l'illuminant B (4874 K), on pourrait avoir les ' composantes suivantes :

 R = 3,62 ; G = 3,43 ; B = 2,95, soit :

E LR = 3,62 cd/m2, LG = 3,43 X 4,59 = 15,74 cd/mz, E LB = 2,95 X 0,06 = 0,18 cd/m2 5 et une luminance totale L= 3,62 + 15,74 + 0,18 = 19,54 cd/m2. GM 06


Modèle:Ph colorimétrie