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Il a couvert les plus grands conflits de son époque et est un des fondateurs de la coopérative photographique Magnum, première de ce genre à voir le jour.

Biographie

Il naît dans une famille juive hongroise aisée et non pratiquante ; ses parents Pédro et Sophie Friedmann[1] sont propriétaires d'une maison de couture à Pest[2].

À l’âge de 17 ans, il est arrêté pour avoir participé aux activités politiques d’étudiants de gauche. Le régime politique autoritaire de l’amiral Horthy le libère à la condition de quitter sa contrée natale. Il part en juillet 1931 pour Berlin. Il a alors pour maître à penser l'écrivain Lajos Kassák et se donne pour objectif de faire carrière dans le journalisme. Grâce à son amie d’enfance exilée Eva Besnyö, il trouve un premier travail comme apprenti développeur dans une agence photographique berlinoise. Parallèlement il suit des études de sciences politiques à la Deutsche Hochschule für Politik (en)[2].

Il fait la connaissance de Simon Gutman, fondateur de l’agence photos Dephot (Deutscher Photodienst), qui lui donne l’occasion de couvrir son premier sujet, Léon Trotski. Il part en novembre 1932 pour Copenhague afin de photographier le responsable communiste, alors pourchassé par des assassins aux ordres de Staline[3].

Juif, il quitte en 1933 l’Allemagne lorsqu'Adolf Hitler accède au pouvoir, gagne Vienne mais le chancelier chrétien-social Engelbert Dollfuss y établit une dictature cléricalo-fasciste, aussi émigre-t-il finalement à Paris à l’automne 1934. Il rencontre dans les cafés de Montparnasse Henri Cartier-Bresson et d'autres juifs émigrés, tels que David Seymour et André Kertész. Il décide de franciser son prénom et se fait désormais appeler « André Friedmann ». Épais sourcils, yeux et cheveux noirs, lèvres charnues, son charme est immense[3].

Au café la Capoulade à Paris, il fait en septembre 1934 la connaissance de Gerda Taro, une étudiante allemande antifasciste, qui d’assistante, devient photographe. Il vit avec elle une histoire d'amour. Il fréquente l'Association des écrivains et artistes révolutionnaires où elle est inscrite, comme ses principaux amis ou collègues photographes[4].

En 1935, il échafaude un subterfuge en sa compagnie en se forgeant la légende d’un photographe américain. Ses photos se vendant très mal, il décide de prendre un pseudonyme : « Robert Capa », qui sonne plus américain et est plus facile à prononcer[5]. Il invente tout un personnage autour de ce pseudonyme. Capa est américain, Capa est chic, Capa est riche, Capa est mondain[2].

La même année, il participe à la création de l’agence Alliance-Photo aux côtés de Pierre Boucher et de Maria Eisner. Il immortalise notamment le Front populaire par sa photo du 14  juillet 1936[6].

La guerre d’Espagne : Capa faussaire ?

En août 1936, il part avec sa compagne couvrir la Guerre civile espagnole aux côtés de troupes républicaines, pour les magazines Vu et Regard[3].

En Espagne, il devient un fervent antifasciste mais sa seule arme reste son appareil photo. Il va même jusqu’à monter certaines photos de toutes pièces, notamment une improbable victoire des forces républicaines[7].

C'est pendant ce séjour en Espagne qu'il prend la photographie qui lui vaudra sa grande renommée et sera à l’origine du mythe Capa. Intitulée Mort d'un soldat républicain, elle représente un soldat des forces républicaines, en chemise blanche, s’effondrant après avoir été touché par une balle[8]. Cette photo symbolise la guerre d’Espagne et reste gravée dans la mémoire collective. Néanmoins, une polémique sur l’authenticité de la photo naît à partir de 1970. Une enquête a toutefois permis de découvrir l’identité du soldat : le militant anarchiste Federico Borrell Garcia qui a bien été tué le 5 septembre 1936, le jour où Capa a pris la photo[9] ; la polémique s'arrête un temps mais elle reprend quelques décennies plus tard quand le journal catalan El Periodico[10] affirme en juillet 2009, clichés comparatifs à l’appui, que la photo n’a pas été prise près de Cerro Muriano, mais près de la localité d’Espejo à 50 kilomètres, endroit où il n’y avait pas de combats à la date de la prise de vue[11]. Un argument supplémentaire à l'appui de la thèse de la fraude vient du fait que Capa a pris deux photos de soldats républicains différents à cet endroit (une des deux photos étant devenue plus célèbre que l'autre) : aux yeux de certains, la chute de deux soldats exactement au même point devant un appareil se trouvant dans la même position constituerait un hasard difficilement crédible[11].

Alors que Robert Capa est de retour à Paris, Gerda Taro est écrasée accidentellement par un char républicain en Espagne lors des combats de la bataille de Brunete. Elle meurt le 26 juin 1937[12] et, jusqu’à la fin de sa vie, Capa aimera à dire que Gerda et lui étaient unis par le mariage.

La Seconde Guerre sino-japonaise

En 1938, il est envoyé par le magazine Life pour suivre la Seconde Guerre sino-japonaise (1937-1945). Avec le documentariste hollandais Joris Ivens, il couvre notamment les raids aériens japonais contre Hankou et la bataille de Taierzhuang[2].

Il prend une photo qui fait la couverture de Life, celle d’un enfant chinois, habillé en militaire. Life apposa alors la légende : Un défenseur de la Chine[13]. Le 3 décembre 1938, la revue de photographie anglaise Picture Post le proclame « le plus grand photographe de guerre du monde »[2].

La Seconde Guerre mondiale

Confronté aux lois françaises contre les «  étrangers indésirables  », il quitte Paris en octobre 1939 et émigre à New York où il rejoint sa mère et son frère. Là, il est chargé par le magazine Colliers de couvrir le front d’Afrique du Nord en 1942. Il continue ensuite en Sicile, afin de suivre le débarquement des troupes alliées, pour le magazine Life. Ses photos sont empreintes de souffrance et montrent le courage de la population sicilienne dans le conflit. En accompagnant les soldats américains, il prend des clichés partout, même dans les plus petits villages. En effet, la photo symbole du débarquement en Sicile, où l'on voit un soldat américain accroupi et un berger sicilien qui lui indique la route, a été prise près de Sperlinga[14]. En février 1943, il rencontre Elaine Justin, alors mariée à l'acteur John Justin et dont il tombe amoureux, leur relation se rompant en 1945.

Le 6 juin 1944, toujours pour Life, il est le seul photographe présent lors du débarquement allié en Normandie, sur la plage d’Omaha Beach, dans le secteur désigné « Easy Red » face à Colleville-sur-Mer. Pendant plus de 6 heures, sous les obus et entre les balles, il photographie la guerre d'au plus près. Aux côtés des soldats, il prend 119 photos. Cependant, un laborantin de Life, pressé par le temps (les photos sont arrivées juste avant le bouclage), ferme dans sa hâte la porte de l’appareil de séchage. L’émulsion des pellicules fond. Finalement, il ne reste que 11 photos à peu près acceptables, mais plutôt floues.

L’une des photos les plus marquantes prises par Capa, le jour J, est celle d’un soldat allié qui, à peine sorti de sa barge de débarquement, tente par tous les moyens de rester hors de l’eau alors que le poids de son arme le gêne, ou bien de manière plus plausible, le GI a choisi de rester au ras de l'eau pour s'exposer le moins possible aux tirs ennemis, la plage d'Omaha, la plus meurtrière du jour J, ayant ensuite été surnommée « Omaha la sanglante » (« Bloody Omaha »). La photo, assez floue pour les raisons évoquées précédemment, mais bien cadrée, est légendée par Life, Slightly out of focus, (« Un peu floue »), titre que Capa reprendra en 1947 pour son autobiographie.

À la Libération, Capa prend des clichés de femmes tondues à Chartres et offre ainsi un témoignage sur l’épuration[15].

Après cette guerre, il a une liaison de deux années avec Ingrid Bergman, ce qui fut connu, des années plus tard, lorsqu’elle publia son autobiographie. En décembre 1945, il la suit à Hollywood, où il travaille comme photographe de mode et photographe de plateau pour l'American International Pictures, notamment pour le film d’Alfred Hitchcock Les Enchaînés, le cinéaste britannique s'inspirant de l’idylle du couple pour écrire le scénario de Fenêtre sur cour. Leur relation prend fin l'été 1946, Capa dans son refus de se fixer (il n'aura jamais de maison et vivra toujours à l'hôtel) s'étant rendu en Turquie[3].

Magnum

En 1947, il fonde avec David Seymour, Henri Cartier-Bresson, William Vandivert et George Rodger la coopérative photographique Magnum. Magnum regroupe certainement les plus célèbres photographes et photojournalistes du monde[2].

Capa et ses amis ont décidé de créer une coopérative et non une agence pour permettre aux photographes de garder l’intégralité des droits sur leurs photos, ce qui jusque là n’était pas le cas dans les agences photos traditionnelles[4].

La collection de Magnum comprend une large variétés de sujets comme : la famille, la drogue, la religion, la guerre, la pauvreté, la famine, le crime, le gouvernement et les célébrités.

Il entretient à cette époque une grande amitié avec l’écrivain américain John Steinbeck. Ils partent ensemble en URSS durant l’année 1947. De ce voyage naît le livre A Russian Journal, illustré par Capa. Ces mêmes années, il maintient en parallèle ses activités de photographe de mode.

Israël

En 1948, il assiste à la naissance de l’État d’Israël. Il développe un lien étroit avec le jeune État, où il se rend à plusieurs reprises entre 1948 et 1950. Les photos prises au cours de ces séjours font l’objet d’un livre, Report on Israel, publié en 1950 (avec un texte d’Irwin Shaw).

La guerre d'Indochine

En 1954, afin de couvrir la guerre d’Indochine, le magazine Life a besoin d’un photographe. Se trouvant alors au Japon pour une exposition de Magnum, Robert Capa se porte volontaire. Ainsi, c’est aux côtés des troupes françaises qu’il parcourt le Viêt Nam, une partie de l'Indochine française de l'époque.

Le 25 mai 1954, au Tonkin, à Thai Binh (Nord du Viêt-Nam actuel, où se trouve la capitale Hanoï), voulant prendre une photo d'ensemble de soldats français, il s’écarte du chemin où progresse la troupe et met le pied sur une mine. Il est tué sur le coup par l'explosion. À titre posthume, la France lui décerna la Croix de guerre[16],[17].

Le style Capa

Modèle:Section à sourcer Pour qu’une photographie ait le style Capa, il faut qu’elle soit prise au plus près de « l’homme » et de l’action. Il s’intéresse à l’éphémère de la vie, aux instants fragiles de l'existence.

Dans toutes ses photographies, Robert Capa tenta de prendre l’instant où l’homme est face au danger, parfois à la mort, à la vérité. Pour cela il faut que le photographe soit le plus près possible du danger, également. Robert Capa disait même : « Si ta photo n’est pas assez bonne, c’est que tu n’étais pas assez près ». Modèle:Référence souhaitée C’est pour cette raison que ses plus célèbres photographies sont mal cadrées et bien souvent floues. Il les a prises la plupart du temps debout ou allongé, la stabilisation de la prise étant bien souvent impossible.

Par exemple, il photographie un coureur du Tour de France dans sa chambre de repos avec sa femme et ses enfants ; il photographie aussi le visage ravagé d’une femme espagnole réfugiée. Son regard est celui d’un humaniste, non pas réellement celui d'un artiste. Il est le simple témoin du bonheur et de la douleur des hommes.

Depuis 1955, le Prix Robert Capa Gold Medal (Médaille d’or Robert Capa) est remis par l’Oversea Press Club of America (OPC) pour « le meilleur grand reportage photographique publié ayant requis un courage et une initiative exceptionnels » (Best published photographic reporting from abroad requiring exceptional courage and enterprise).

Anecdotes

Modèle:Anecdotes Il entretint une longue amitié avec Ernest Hemingway, qui s’est inspiré des photos de Capa pour écrire le livre « Pour qui sonne le glas ».

Robert Capa a donné son nom à la promotion 2004 de l’Institut d’études politiques de Strasbourg.

En janvier 2008, trois valises (nommées « la valise mexicaine ») contenant 4 500 négatifs de Robert Capa, Gerda Taro et David Seymour pris pendant la guerre civile espagnole, supposés détruits et dont la présence était soupçonnée à Mexico depuis 1995, ont été remis au Centre international de la Photographie de New York fondé par Cornell Capa (1918-2008), frère de Robert[18].

Lors de la Libération de Paris, les reporters de guerre n'avaient en général pas la permission de suivre les troupes lors des engagements… sauf Robert Capa ; il a pu rester proche des combats grâce aux hommes de "la Nueve", la neuvième compagnie composée en majorité d'espagnols anti-franquistes intégrés aux troupes alliées, lesquels ont facilité la levée d'interdiction le concernant (réf. : Slightly out of focus de Robert Capa).

Inspirations

La série de romans feuilletons écrite par Dan Franck et Jean Vautrin, intitulée Les Aventures de Boro, reporter photographe, s’inspire de la vie et l’œuvre de Capa. Blèmia Borowicz est un jeune hongrois juif par son père, émigrant à Paris pour devenir photographe et choisissant Boro comme pseudonyme. Il est en Allemagne lors de la montée du Nazisme, suit de près le Front populaire en France, puis part en Espagne au moment de la guerre civile… Il connaît aussi une liaison avec une grande actrice fictive.

Le 20 janvier 2011, paraît aux Éditions Héloïse d'Ormesson, le roman de Susana Fortes, En attendant Robert Capa (paru en 2009 en Espagne et récompensé par le prix Fernando Lara). Ce roman retrace l'histoire d'amour entre Capa et Taro : débutant en 1935, année de leur rencontre. Traduit en douze langues, il sera adapté au cinéma par Michael Mann avec Eva Green dans le rôle de Gerda Taro.

En 2012, le groupe anglais Alt-J (∆) transcrit en musique le récit de la mort de Robert Capa en 1954 au Viêt Nam sur la chanson intitulée Taro, tirée de l'album An Awesome Wave.

Principaux clichés et reportages

Citations

  • « If your pictures aren’t good enough, you aren’t close enough. » : Si vos photos ne sont pas assez bonnes, c’est que vous n’êtes pas assez près.
  • « War is like an aging actress : more and more dangerous and less and less photogenic. » : La guerre c’est comme une actrice qui vieillit : de plus en plus dangereuse et de moins en moins photogénique.
  • « For a war correspondent to miss an invasion is like refusing a date with Lana Turner. » : Pour un correspondant de guerre, louper un débarquement, c’est comme refuser un rendez-vous avec Lana Turner.
  • « Like people and let them know it. » : Aime les gens et fais leur savoir.
  • « It’s not always easy to stand aside and be unable to do anything except record the sufferings around one. » : Ce n’est pas toujours facile de se tenir à l'écart de l'action et d’être incapable de faire la moindre chose sauf d’enregistrer la souffrance autour de soi.
  • « The pictures are there, and you just take them. » : Les photos sont là, et tu n'as qu’à les prendre.
  • « I hope to stay unemployed as a war photographer till the end of my life. » : J’espère rester au chômage en tant que photographe de guerre jusqu’à la fin de ma vie. (Citation à la fin de la Seconde Guerre mondiale)

Bibliographie

Voici une liste non exhaustive de livres contenant des photos de Robert Capa :

  • Robert Capa, Images de guerre, Paris, Hachette, , 175 p., broché
  • Robert Capa, Robert Capa, Paris, Centre national de la photographie, coll. « Photo poche », , broché (ISBN 2867540488)
  • Death in the Making, de Robert Capa et Gerda Taro
  • A Russian Journal, texte de John Steinbeck, photographies de Robert Capa
  • Robert Capa : War and Peace
  • Richard Whelan, Robert Capa : La Collection, Phaidon Press Ltd, (ISBN 0-7148-9420-6)
  • Benoît Eliot et Stéphane Rioland (préf. John G. Morris), Robert Capa, D-Day, Point de vues, , 72 p. (ISBN 978-2-915548-09-9)

Notes et références

  1. Richard Whelan 2004, p. 569
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 et 2,5 Laure Beaumont-Maillet, Françoise Denoyelle, exposition « Capa, connu et inconnu » à la Bibliothèque nationale de France, 2004
  3. 3,0 3,1 3,2 et 3,3 Jean Lebrun, « Robert Capa », émission La Marche de l'Histoire sur France Inter, 15 mars 2013
  4. 4,0 et 4,1 Pierre Barbancey, « Robert Capa. L’homme qui aimait les excès de la vie », sur L'Humanité,
  5. Brigitte Ollier, « Robert Capa prend la parole », dans Libération, 22 octobre 2013 [texte intégral (page consultée le 22 octobre 2013)] 
  6. [Le 14 Juillet 1936 Trois jours de fêtes, le peuple, l'armée, la France]
  7. français Robert Capa - Guerre et amour.
  8. Mort d’un milicien de Robert Capa
  9. Présentation de la treizième photo de Robert Capa, collection Photo Poche aux édition Nathan (2001), (ISBN 2097541275).
  10. Modèle:CaFamosos pillados, de José Manuel Susperregui, Espejo de Tinta, 2006 (ISBN 8496280829).
  11. 11,0 et 11,1 La célèbre photo de Robert Capa serait un montage, Le Nouvel Observateur, 17 juillet 2009.
  12. Laure Beaumont-Maillet, « Robert Capa », site de la Bibliothèque de France.
  13. Couverture de Life.
  14. Sperlinga
  15. Marc Nouschi, La démocratie aux États-Unis et en Europe (1918-1989), Paris, Armand Colin, (ISBN 2200250290), p. 216.
  16. anglaisBiographie de Robert Capa sur le site de Magnum
  17. Capa, repères chronologiques
  18. français Michel Lefebvre, « Belle découverte de négatifs de Capa », Le Monde, (consulté le 28 janvier 2008).
  19. 19,0 19,1 19,2 19,3 19,4 19,5 et 19,6 Fluctuat, « Robert Capa » et œuvres majeures du photographe, [1], consulté le 4 août 2009.

Liens externes

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