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CONSTANTE MÉTAPHYSIQUE
L’usage du masculin est utilisé de manière à représenter équitablement les deux sexes.
Toutes les notes en bas de pages proviennent du dictionnaire Larousse 2006. Traduction de: «Concepts of Modern Geometry»
Table des matières
PROLOGUE
1ÈRE partie :
D’Euclide à Riemann
De Riemann à Einstein
D’Einstein à Friedman
2e partie :
Post-géométrie
Triumvirat : paramètres ou Attributs ?
Magnétisme
Pourquoi la terre tourne-t-elle autour du soleil ?
‘’Un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour…’’
3e partie :
Constante métaphysique
Épilogue
Bibliographie
Glossaire
Cette esquisse est dédiée à tous ceux qui rêvent à l’impossible. Cet ébauche est écrit à l’inconscient, et à tous ceux qui auront escaladé le mur de l’inconnu ou enfin l’espérance de le découvrir. Traversez-le en toute confiance.
PROLOGUE
-Science 2009
Dieu révèle à l’humanité deux forces de la nature.
Premier fait, Newton déclare que la gravité est une force irréversible. Deuxième fait, Einstein rétablit l’équilibre grâce à la révélation d’une contre force naturelle nommée ‘’lambda’’ en grecque. Je vous invite à lire ayant toujours à l’esprit que ces deux lois sont des faits révélés, mais irréversibles. Ces concepts furent écrits dans le but d’éclairer les futures générations sur les lois divines ou naturelles. Son cheminement est simple. Le Créateur a révélé à l’homme ordinaire comme vous et moi, ses lois naturelles. Il est donc normal que la Bible défile à l’humanité la suite du secret sur ses propres lois métaphysiques. Pour simplifier cela, j’ai utilisé le langage mathématique et le concept cosmologique pour mieux expliquer à certains l’importance de la constante métaphysique. La Bible en révèle le secret, il ne fallait qu’oser. Ainsi dans les prochains chapitres, vous assisterez à la démonstration de lois dites ‘’divines’’. J’essaie de dresser un plan idéologique sur des faits accomplis. La suite du récit appartiendra aux lecteurs (trices).
Enfin, ils comprendront rapidement que le sujet se sépare en deux parties distingues : la première dite scientifique, l’autre métaphysique. L’auteur vous souhaite une agréable lecture.
1. Euclide à Riemann.
Par une merveilleuse fin de journée ensoleillée à la fin du mois de
Juillet 2006, j’en profitais pour entreprendre ce que j’appelle
aujourd’hui une certaine ballade intellectuelle dans le monde
métaphysique. Sachant très bien que cela intéresserait seulement
une infime minorité de la moyenne des ours. Pour débuter, rien de
mieux que la science pour solidifier la structure. Prenons ici
une discipline sérieuse et reconnue : commençons par la logique
mathématique, débutons par la géométrie.
Tirant son origine sur deux bases géométriques dites
paradoxales, j’aimerais ici, chers lecteurs (trices), vous exposer
deux anciens théorèmes :
1-) L’Espace-temps de la géométrie Euclidienne ; 2-) L’Espace-temps de la géométrie de Lorentz.
Cela peut sembler aride pour plusieurs et j’en conviens qu’il faut
un certain effort intellectuel pour passer au-travers, mais l’épreuve
en vaut finalement la chandelle comme dirait mon père.
Remontons un peu dans l’espace-temps, si vous voulez bien, au
3e siècle avant Jésus-Christ dans une magnifique mégapole
nommée Alexandrie. Un grand mathématicien voyait le jour.
Rapidement, il fut couronné de gloire et de succès grâce à sa
géométrie dite Euclidienne.
Son nom fut Euclide.
Deux mille trois cent ans plus tard, la géométrie euclidienne
est encore d’actualité. En simplifiant la logique, en voici le
résumé : La longueur, ou son carré, est toujours de valeur ou axée
sur des quantités dites positives.
(∆ X exposant 2) + (∆ Y exposant 2) = (∆ X ‘ exposant 2) + (∆ Y’ exposant 2) ≥ 0
Cela ressemble à plusieurs types de formules applicables encore
à l’espace-temps courbe de Minkowski. Mais à (3)
trois dimensions seulement. Bref, notre monde à nous est
semblable à la géométrie euclidienne ; expliquant ainsi la
géométrie classique de l’Univers dans lequel nous vivons.
Poursuivons le chemin sur la route de la géométrie antique, il faut
remonter à la fin du 19e siècle de notre ère pour assister à la
naissance d’une seconde géométrie, celle du célèbre Hendrick
Antoon Lorentz. Il est né à Arnhem en 1853 et meurt à Haarlem en
1928. Sa géométrie est la géométrie à intervalle
liant deux systèmes parallèles. Ainsi est né, le carré de l’intervalle
de la géométrie à quatre dimensions : la géométrie de Lorentz.
(∆ t exposant 2) - –∆ X exposant 2) = (∆ t ‘ exposant 2) - –∆ X’ exposant 2) ≥ 0 (∆ t exposant 2) - –∆ X exposant 2) = (∆ t ‘ exposant 2) - –∆ X’ exposant 2) ≤ 0 (∆ t exposant 2) - –∆ X exposant 2) = (∆ t ‘ exposant 2) - –∆ X’ exposant 2) = 0 (1)
Le résultat peut être soit positif, soit négatif ou parfois nul.
Une nouvelle ère en géométrie venait de naître. Les signes
mathématiques (+, -, =) dépendent de celle des composantes du
temps ou d’espace prédominant en géométrie.
Cependant dans la géométrie de Lorentz, la ligne courbée est
parcourue dans le temps propre le plus court et s’applique
parfaitement à notre monde à quatre (4) dimensions. Certains
néophytes pourraient se poser la question : « Quelle différence y-
a-t-il entre la géométrie euclidienne, et celle de Lorentz ? » La
réponse est : l’accélération.
(1)WHEELER,J.A.TAYLOR E.F.,spacetime physics, Éditions Dunod, Paris,1963,p.43.
Bref, voici la citation résumant bien les deux géométries
dites complémentaires : « Le temps propre du monde physique
réel de l’espace-temps diffère évidemment beaucoup de la
distance des traités de géométrie euclidienne. La distance la
plus courte caractérise la route directe : « La ligne droite est
la plus courte distance entre deux points. »
«Au contraire, le temps propre écoulé est plus court pour le
voyageur qui s’éloigne à grande vitesse et revient à son point
de départ que pour l’homme qui est resté chez lui ! (2)
Ainsi, la différence entre les deux géométries repose sur l’ajout
d’un 4e paramètre, le temps .Il est exact de dire que la géométrie
euclidienne touche à trois (3) paramètres dont l’espace à une,
deux et trois dimensions : - la ligne, l’espace, et la surface. Tandis
que celle de Lorentz insiste à inclure la dimension
essentielle qu’est le temps. Ici comme l’assertion précédente,
John A. Wheeler illustre magnifiquement bien la complémentarité:
-« Nous avons appris aujourd’hui à ne pas exagérer
l’argument de Minkowski. Il est exact de dire que le temps et
l’espace sont des parties inséparables d’une unité plus large.
Il est faux de prétendre que le temps est de qualité identique à
l’espace. Pourquoi ceci est-il faux ? Ne mesure-t-on pas le
temps en mètres, tout comme une distance ? Les
(2)WHEELER,J.A.TAYLOR E.F.,spacetime physics, Éditions Dunod, Paris,1963,p.43.
coordonnées x et y ne sont-elles pas des quantités de
caractère physique identique ? Par analogie, les coordonnées
x et t du diagramme d’espace-temps ne sont-elles pas de
même nature que les autres ? Comment même pourrait-il être
légitime de placer ces trois quantités sur un pied d’égalité,
dans la formule :
[(∆X) exposant2 + (∆Y) exposant2 + (∆Z) exposant2 – (∆T) exposant2] exposant 1/½e l’intervalle espace
par exemple?
Pied d’égalité, oui ; même nature, non. Il existe
dans cette formule un signe moins qu’aucun tour de
prestidigitation ne peut faire disparaître. C’est ce signe moins
qui marque la différence de caractère entre l’espace et le
temps. » (3)
Considérons qu’Euclide avait besoin de trois paramètres ; la ligne,
la surface et l’espace afin de créer la géométrie classique des
«Éléments» qui porte désormais son célèbre nom. Ici, l’emphase
doit être mise sur le mot «paramètre.» Trois cent ans avant la
naissance du Christ et dix neuf siècle plus tard, Lorentz (1900) et
Minkowski (1908) introduisirent un 4e paramètre qui deviendra le
(3)WHEELER,J.A.TAYLOR E.F.,spacetime physics, Éditions Dunod, Paris,1963,p.43.
«temps.» Minkowski avait bien raison lorsqu’il disait :
-« L’espace pur et le temps pur sont dorénavant condamnés à
s’effacer dans l’ombre ; seule une sorte d’union des deux
préservera une réalité indépendante. » (4)
Poursuivons dans la chronologie géométrique, on assiste à
l’arrivée de la géométrie de Bernhard Riemann où l’espace est
courbe. De cette convention, devenue célèbre grâce à Albert
Einstein, nous passons à la géométrie dite contemporaine.
Débutons sur des bases conventionnelles à plus de trois
dimensions. Nous sommes tous interpellés vers l’étude d’un
espace infiniment petit grâce à la rotation d’un bivecteur en
géométrie classique. Mais, au fait, qu’est-ce qu’un bivecteur? Le
petit Larousse illustré 2006 affirme qu’un vecteur en mathématique
est le segment bi-dimensionnel d’une droite orientée par sa
direction, son sens, et sa longueur.Voilà, une définition
«littérale» du mot vecteur. Toujours selon la géométrie dite de
Riemann, de ce fameux bivecteur, il faut effectuer le produit
(multiplication) scalaire du premier (1er) bivecteur par le second à
l’intérieur d’un cycle précis.
(4)wikipedia encyclopaedia,http://en.wikipedia.org/wiki/minkowski
On obtient un produit (conséquence de la multiplication de deux bi-
vecteurs) d’où on divise l’aire (dimension) élevée à la puissance
au carré, le tout limité par un cycle «xyz» donné. Fantastique, si
vous avez compris Riemann. Sinon, pour simplifier,
observez bien la formule extraite de la courbure riemannienne des
espaces à plus de trois dimensions :
(pα + qβ + rγ) dδ élevé à la puissance deux = K dδ élevé à la
puissance deux. Parfaite équation d’équilibre pour l’adepte du
précis scientifique, mais tellement aride pour le profane non-initié
à l’art de la méthode.
Pour le non-initié, commençons par les lettres grecques
suivantes : α, β, γ, δ. Poursuivons avec la formule de Riemann :
(pα + qβ + rγ) dδ élevé à la puissance deux = K dδ élevé à la puissance deux.
En logique mathématique, α (alpha), β (bêta), et γ (gamma) sont
associées à une dimension quelconque de l’espace en géométrie,
par exemple au temps d’Euclide. En d’autres mots, pour mieux
comprendre la logique, il faut ressortir un peu votre vocabulaire
grec. Dans la formule suivante : (pα + qβ + rγ), on y observe,
d’après vous, combien de dimensions? N’oubliez jamais que
chaque lettre grecque fait mention d’une certaine dimension
spécifique de l’espace. Ici, on parle maintenant d’une observation
pour n=3. Donc, trois dimensions. Exemples, le point α (n=1), la
surface β (n=2), et l’espace γ (n=3) représentent en fait trois
dimensions ou paramètres. Comme a introduit Riemann, quelle
sera la formule si on y injecte une autre dimension? Par exemple,
le temps. Il faudra ajuster la formule de base par celle-ci :
(pα + qβ + rγ + sω) dδ élevé à la puissance deux = K dδ élevé
à la puissance deux
Donc, le temps est ici bien représenté par le paramètres (sω) où le
temps (n=4).
Poursuivons la route explicative sur l’espace courbe de Riemann.
Que représente la codification : dδ élevé à la puissance deux et
«K»? La lettre «K» est significative. Elle représente une constante
mathématique identifiée par le terme «k», la même image se
répétant de façon constante, continuelle, et permanente. Dans la
formule, le «K» coïncide à une constante dite la constante de
Riemann. Elle accompagne souvent l’équation et parfois elle
représente une quantité, un chiffre ou un nombre quelconque. Une
constante demeure toujours stable.
Parfois, elle rassure mais surtout elle ne souffre pas d’une
constante variation. En cosmologie, plusieurs constantes sont
désormais célèbres : comme la constante de Hubble (1929), la
constante de Planck (1900) identifiée par la lettre «h» dont la
valeur constante est de 6,626 * 10exposant-34 joule-seconde, la
constante de newton (1675), et la constante d’Einstein (1916).
Maintenant, revenons si vous voulez bien au dernier symbole
mathématique de notre formule, le fameux sigma «dδ» exposé à
la puissance deux. Pourquoi, Riemann adopte-t-il ce type de
symbole?
Rappelons la logique du début : -« en divisant par le nombre
obtenu par le carré de la mesure de l’aire limitée par le cycle.» (6)
Pour simplifier, ici, le sigma «dδ» exposé à la puissance deux sert
simplement de catalyseur à l’équation de Riemann. Qu’est-ce que
l’équilibre dans une équation mathématique? Connaissez-vous la
métaphore suivante : «deux poids, deux mesures ! »
Une convention sine qua non où l’équilibre mathématique consiste
à une opération par laquelle on fait balancer l’équation. Bref,
sigma «dδ» élevé à la puissance deux stabilise la formule de part
et d’autre de l’équation mathématique.
Passons à l’étape 2, à la définition géométrique riemannienne. Le
mathématicien allemand a dit : -«géométriquement, la rotation
est représentée par un bivecteur simple situé dans l’élément
plan du cycle, et dont la mesure s’obtient en multipliant par K
(6)Riemann,B.,http://en.wikipedia.org/wiki/bernhard_riemann
l’aire limitée par le cycle ; la rotation se fait dans le sens du
cycle si K est positif (+), dans le sens contraire si K est négatif
(-).Le nombre K mesure la courbure de l’espace au point M,
sans qu’on ait besoin de spécifier dans quelle direction elle
est prise (…). Par suite, tout espace dont la courbure est
constante est localement elliptique (si K est positif),
hyperbolique (si K est négatif), ou Euclidien (si K est nul). K
étant la constante. »(7)
J’espère que la première notion géométrique fut non aride pour le
néophyte en géométrie. Poursuivons.
(7) Riemann,B.,http://en.wikipedia.org/wiki/bernhard_riemann
De Riemann à Einstein…
Ce qui suit n’est objectivement un résumé de l’idée d’Einstein et
d’Alexandre Friedman.
Einstein affirmait haut et fort que l’univers est homogène et
isotrope. Cela provient d’une conviction évolutive sur la
connaissance gravitationnelle dans le temps. Heureusement,
Einstein imagine la géométrie riemannienne sur le problème
cosmologique comme on imagine la courbure spatiale d’une
pomme grâce à nos cinq sens. Selon lui, l’espace est soit
sphérique, soit pseudo-sphérique ou carrément euclidien. Le lien
de cause à effet sur la courbure universelle peut très bien être
représenté sous forme graphique. L’univers infini est en constante
expansion dans l’espace où il estimait son commencement au
environ de 10 à la puissance 9 années comme durée d’expansion
temporelle, disait-il. Son point de départ convergeait à l’axiome du
zéro absolu de Max Planck.
En 1917, l’univers spatial fut âgé de 10 à la puissance 9 années
mentionné ci-haut, et il croyait à son expansion infinie. Voyons
ensemble quelques convictions d’Einstein sur la courbure spatiale
dite cosmologique.
Premièrement, l’univers spatio-temporel selon Albert Einstein pouvait être à courbure positive. Confirmant sa première
hypothèse que l’univers est effectivement fermé.
1-) ρ > ρc 2-) 1/3 x ρ-H2 > 0
Le mystère d’une sphère fermée reposait sur l’hypothèse que la
matière visible (lumineuse) et non-visible (non-lumineuse)
surpassait de beaucoup la valeur critique de densité extrême
exprimée par le symbole ‘’ ρc ‘’ en science naturelle.
Bref, selon la théorie sur l’espace à courbure positive, il est
infiniment rassurant de savoir qu’on retourne d’où on vient dont
l’expansion est éternellement circulaire. Ici, le «cercle»
représentant l’infini.
Deuxièmement, aujourd’hui on peut effectivement trouver quelque
consolation dans l’approche systémique du deuxième plan binaire
chez Einstein. L’histoire classique d’une approche einsteinienne
nous pousse en à venir heureusement à un espace à courbure
négative.
2
(DG/DT) = Go + G
Le miracle repose sur l’aspect infini de la courbure spatiale.
L’expansion est continue et infinie. Le «Big Crunch» est exclu
devant une telle approche.
La gravité universelle infléchit légèrement la courbe, c’est pourquoi
DG/DT décroît. La formule 1/3 x ρ-H2 < 0, indique que l’univers est
infini.ρ < ρc ( 3h2/8πG) est l’approche que j’adopte comme idéologue,
mais à une nuance près où la stabilité de la pensée me pousse à
croire que la section spatiale demeure effectivement infinie en
ESPACE et en TEMPS. La contradiction confirme la règle où
l’univers infini gravite autour d’un noyau central. En dehors ou en
dedans, qu’importe à quelques initiés en théologie, le «Royaume
des Cieux ou le monde parallèle» correspond à ce centre
névralgique d’une expansion énergétique continue sans
contradiction.
Troisièmement, un fait qui n’échappe point à la règle d’or chez
Albert Einstein, la géométrie plane. La densité critique ‘’ ρc‘’
absolue. Heureusement, on sait que l’univers aujourd’hui grâce à
nos nombreuses recherches est au-dessus du spectre à section
spatiale plane. Entre les deux cas, 1/3 x ρ-H2 = 1, conformément à
l’équation :
(DG/DT) = Go
G
C’est la géométrie «sphérique» euclidienne où la courbure
négative s’annule ; donc le cas d’une section absolument plane.
2 Ainsi, (DG/DT) = 1.
Résultat, une géométrie euclidienne à trois dimensions. Pourquoi,
parce que le tenseur de courbure s’annule, c’est l’équilibre au
point mort. En résumé, le cas limite enseigne beaucoup sur
l’origine de la matière étant inférieure à la radiation au temps du
zéro absolu de Max Planck. (8)
(8)Albert Einstein, la relativité restreinte, Annalender physics,1905, p.88.
Aujourd’hui, à l’aube du 21e siècle avec l’accroissement du
paramètre TEMPS, la matière gagne du galon. En plus,
la conclusion d’Einstein nous est d’une priorité déconcertante, en
voici un extrait :
-« Dans cet examen du cas de courbure non nulle, il résulte
ceci : pour tout état de courbure («spatiale ») non nulle, il
existe, comme dans le cas de courbure nulle, un état initial,
dans lequel G=0, où l’expansion commence. C’est donc une
section où la densité est infinie et le champ singulier.
L’introduction d’une nouvelle singularité…(9)
D’Einstein à Friedman…
Bref, j’aborde dans le même sens du grand physicien indien,
Jayant V. Narlikar, lorsqu’il affirme que nul axiome de Friedman,
reste inconnu jusqu’à ce jour. Ni l’une ni l’autre ne sont connues
avec PRÉCISION. Quelle est la densité critique ρc’’ réelle
(3h2/8πG) connue à ce jour ? Est-ce que ρ’’ (rho) demeure positif,
négatif ou nul ? Bien malin celui ou celle qui apportera la
réponse. Einstein conclue que «l’âge de l’univers, dans le sens
(9) Narlikar, V., Jayant, Faits et spéculations en cosmologie, Éditions Fayard,Paris, 2004.
employé ici, doit certainement dépasser celui de la croûte solide
de la Terre, tel qu’il a été déduit des minéraux radioactifs. Einstein
en exprime bien sa pensée dans son célèbre discours sur la
méthode rhétorique. En voici un court extrait :
DISCOURS DE LA MÉTHODE RHÉTORIQUE
-« Il s’agit de franchir cette barrière de la pensée, et le lecteur
patient verra que ce n’est pas une chose tellement difficile. » Einstein
Il y a à l’intérieur de ma culture québécoise une populaire
maxime : -« on a fait le tour du jardin ! » Que je trouve
particulièrement savoureuse concernant la rhétorique du discours.
Les puristes purs et durs m’injurieront de cultiver un certain
opportunisme philosophique et même à la limite être pseudo-
scientifique. Il faut se rendre à l’évidence que la théorie finale
en astronomie peut paraître un discours présomptueux. Il est
grand temps de passer à la vitesse grand V ; certes au péril de
froisser quelques égaux. Pourquoi, s’interroger aujourd’hui sur
l’axiome «métaunivers ou parallèle»? Parce que
la Création est une éternelle Révélation. Le dogme adhère à la
simplicité logique et une telle affirmation stimule l’apogée du
savoir. À mon humble avis, l’axiome «méta univers-parallèle»,
infirme en principe la théorie du compromis logiquement
acceptable la plus simple qui soit.
Mais cela n’exclut aucunement l’obéissance de la nature de ce
côté-ci de la barrière infinitésimale. Le «métaunivers ou monde
parallèle» renforce un dogme plus complexe pour certains à saisir.
Parfois, il peut être classé dans la petite boîte illogique et même
choqué l’adepte aux caractéristiques dogmatiques ou religieux.
J’accorde la note A+ pour infirmer l’incertitude, pourquoi la réalité
peut-être obscure à certains égards mais si logique à d’autres. Il
semble évident que le «noyau» ; occulter en science par
l’affirmation du «Royaume des Cieux ou un monde parallèle».
Ce paradoxe semble être décrit grâce à un univers fermé où ρ > ρc
est acceptable. Mais néanmoins, vers un univers aussi
parfaitement ouvert. Bref, là n’est point la
question. Cela bouleverse toute orthodoxie d’un continuum
«espace-temps» connu et doit conduire à une logique en vue de
trouver un théorème explicatif, descriptif et sans équivoque.
Néanmoins, simplement l’affirmation d’un début de réalité. En
conclusion, la théologie permet d’obtenir la base d’une
telle observation.
La logique de Riemann est une excellente introduction à la post-
géométrie dite : constante métaphysique.
Maintenant, il est grand temps que vous sachiez comment se
forme la logique de l’autre côté du mur de l’inconnu. Certain le
nomme : « le monde parallèle.»
CE QU’ON DOIT SAVOIR.
Pourquoi l’examen rétrospectif sur la géométrie classique et sur
la géométrie contemporaine?
Parce qu’il faut une compréhension générale ou globale pour
saisir l’ampleur des paramètres déjà mentionnés ci-haut. La
géométrie existe parce qu’il y a des paramètres. Elle prend sa
source grâce à l’étude des relations entre eux.
Pour ouvrir nos horizons intellectuels, il faut faire appel à de
nouveaux paramètres dans une nouvelle dimension dite post-
géométrique.
Pourquoi ? Afin d’y introduire la constante métaphysique.
Ne cherchez rien derrière les faits, ils sont eux-mêmes la doctrine. Goethe
Lorsque la constante métaphysique prend genèse comme socle
sous l’omnipotence, l’omniprésence, et l’omniscience du seul
Créateur en Israël, YHWH.
Savoir, c’est le nerf de la guerre en post-géométrie. Mais quels
sont les paramètres recherchés en post-géométrie ? Choses
certaines, les paramètres suivants n’existent plus de l’autre côté
du mur de l’inconnu ou dans un monde parallèle:
- temps - la matière - l’espace
Avec quels nouveaux paramètres peut-on visualiser la post-
métaphysique? En théologie, les (3) trois paramètres sont les
suivants : omnipotence ; l’omniprésence ; l’omniscience.
1-) Omnipotence
Du latin «omnipotentia» représente le paramètre où le pouvoir de
créer est absolu. Tout est possible lorsqu’on possède le
paramètre de la Toute Puissance. On peut faire tout ce que l’on
veut. À l’exemple de la géométrie euclidienne, Newton admettait
au contraire l’existence d’un système de référence idéal s’étendant
à tout l’Univers. Cette citation célèbre de Newton résume bien le
fond de sa pensée:
- « L’espace absolu, qui a sa nature propre sans relation - - avec rien qui lui soit externe, reste toujours semblable à - - lui-même et immuable. »
C’est similaire en post-géométrie, l’omnipotence absolue à sa
nature indépendante sans relation avec quoi que se soit qui
lui soit externe. Ce paramètre signifie qu’il peut agir
directement sans causes secondaires. (10)
En une métaphore, l’omnipotence est un paramètre que seul le
Créateur de l’univers possède en lui-même et d’une manière
absolue.
2-) Omniprésence
L’omniprésence est le 2e paramètre en «theos logos». Qu’est-ce
que l’omniprésence ? Du latin «omni» signifiant «tout.» La plupart
(10)Newton, Isaac, http ://scienceworld.wolfram.com/biography/Newton.html
d’entre nous possèdent une idée fixe de ce que serait
l’omniprésence mais cette présence constante absolue est non
statique en post-géométrie.
«-Cela veut dire que ce paramètre
n’est aucunement limité par lui-même.»(12)
Cet attribut ou si vous préférez le terme paramètre appartient à
Dieu seul en post-géométrie. Pour en simplifier la complexité,
encore une seconde fois, j’aimerais vous citer Sir Isaac Newton :
- «Le temps absolu, vrai et mathématique, de par sa - - propre nature s’écoule uniformément sans relation avec - - rien qui lui soit externe. » L’omniprésence constante, - - absolue et vraie mathématiquement de par sa nature dite - - parfaite transcende tout l’espace mais n’est pas sujet aux - - limitations de celui-ci. C’est pourquoi, il devient un paramètre - - important au-delà du mur de l’inconnu.» (13)
Et comme le disait Sir Isaac Newton, trois (3) siècles avant notre
ère, l’omniprésence comme 2e paramètre post-géométrique est
(12) Newton, Isaac, http ://scienceworld.wolfram.com/biography/Newton.html (13)Wheeler,J.A.,Taylor,E.F.A la découverte de l’espace-temps,Éditions Dunod,Paris, France,1970,page 311.
sans relation avec rien d’autre qui lui soit externe sauf que Dieu
seul en possède l’attribut. Étant un humble observateur de la thèse
d’une post-géométrie sans faille, faites simplement vous imaginer
un instant d’être vous-même omnipotent et omniprésent.
Seulement là, vous serez immergé à l’intérieur d’une structure
post-géométrique appartenant exclusivement de l’autre côté dans
un monde parallèle.
3-) Omniscience
Évidemment le 3e paramètre saute aux yeux, il s’agit du 3e
paramètre absolu en post-géométrie et j’ai nommé l’omniscience.
Savoir tout est un postulat sine qua non dans le merveilleux
monde théologique. Ce paramètre se trouve dans l’univers d’Albert
Einstein, dans le monde animé et de l’autre côté du mur dans le
monde inanimé. L’omniscience transcende les deux mondes. (14)
Bref, l’édifice intellectuel de la géométrie de l’Au-delà se compose
naturellement des matériaux qui renferment les trois (3)
paramètres suivants ; l’omnipotence, l’omniprésence et
l’omniscience absolues. Du latin «scien», l’omniscience divine
(14)Wheeler,J.A.,Taylor,E.F.A la découverte de l’espace-temps,Éditions Dunod,Paris, France,1970,page 311.
représente un paramètre essentiel ouvrant la voie à une dimension
dans laquelle seule on lui reconnaît l’attribut de participer à la
construction des murs, des portes, et des fondations post-
géométriques.
Au-delà de ses murs, le but du 3e paramètre est d’élever la
fondation unique de son Créateur pour sa propre Gloire ! Pour les
visuels comme moi, j’aimerais illustrer ici le théorème déjà
expliqué au cours du présent chapitre.
Chaque formule mathématique correspond à une équation
mathématique particulière dédiée à l’espace-temps pour les deux
(2) premiers graphiques. Veuillez notez que le 3e et dernier
graphique, équivaut aux paramètres post-géométriques qui sont
en ordre : l’omnipotence, l’omniscience et l’omniprésence. Chaque
graphique représente, en quelque sorte, une certaine opposition
entre la géométrie classique dite euclidienne, entre celle de la
géométrie dite de Lorentz, et entre la constante métaphysique.
Le défi est grand. La conjecture se fonde sur la post-géométrie.
Type de géométries non-euclidiennes. Et non de la géométrie de
Lorentz ou celle de Riemann ; mais où les paramètres sont
l’omniscience, l’omnipotence et l’omniprésence. Ainsi, la post-
géométrie complète les autres géométries adaptées du côté-ci de
l’«univers». Riemann enseigne que l’espace-temps est
courbe alors que de l’autre côté du monde parallèle, les
paramètres sont tout à fait différents.
-«En 300 avant notre ère, le mathématicien grec Euclide a
défini, en 13 volumes appelés les Éléments, les bases de la
géométrie classique ; celle que l’on enseigne et utilise encore
couramment aujourd’hui. D’autres géométries ont toutefois
été mises au point au siècle dernier. Elles réfutent certains
principes de la géométrie euclidienne, notamment qu’on ne
peut tracer qu’une seule ligne parallèle à une ligne droite et
passant par un point donné. Il existe plusieurs types de
géométries non euclidiennes, dont celle de Riemann où
l’espace est courbe. » (15)
Peut-on saisir grâce à l’exemple ?
Pour une compréhension claire, il faut un langage universel.
Dans le livre de l’Apocalypse lorsqu’on assiste à la description dite
géométrique de la «Jérusalem Céleste», Jean adopte une lecture
euclidienne de l’endroit afin d’éclairer l’homme de la rue ou le plus
grand nombre de civilisations possibles. Aujourd’hui, on sait grâce
à Euclide que 12 000 stades équivalent à 400 coudées multiplier
par 12 000, car 1 stade égale ici environ 185 mètres. Bref, pour
l’utiliser une langue commune du côté-ci du mur et si vous avez
fait le calcul rapide, la grande Ville de l’Apocalypse mesure environ
2 220 000 mètres. Or, il ne faut jamais confondre ceci :
(15) Wheeler,J.A.,Taylor, E.F.A la découverte de l’espace-temps, Éditions Dunod, Paris, France,1970,page 311.
La Jérusalem Céleste appartient aux lois célestes qu’essaient
d’élucider la post-géométrie non euclidienne. Il y a
d’abondantes raisons de croire qu’il s’agit littéralement d’une
ville. Elle a des fondements, des portes, des murailles, et des
places. Elle a les mesures d’un cube (Apocalypse 21 : 6 ), ce
qui pourrait signifier un cube post-géométrique.
(Voir en Annexe à la fin)
Jésus-Christ a dit un jour :
-« J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne
pouvez pas les comprendre maintenant. »Jean 16 : 12
« Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses
terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai
deschoses célestes. »Jean 3 : 12
Et combien Il avait raison.
2e PARTIE
THÉOLOGIE
Quand le sage lui montre du doigt la Lune, l’imbécile regarde le doigt. Proverbe chinois
CE QU’ON SAIT…
L’Univers ignore la théorie ou la philosophie du néant, car le vide
se comble rapidement dans l’espace.
L’emplacement laissé vacant dans une région de l’espace que l’on
surnomme parfois le trou noir renferme assez de matière pour
créer l’équilibre des forces, l’équilibre des énergies, et surtout
l’équilibre des masses. Ainsi, d’immenses galaxies vivantes sont
inversement proportionnelles au noyau-centre de forte masse que
constituent les fameux trous noirs. En d’autres mots, le noyau-
centre super massif d’un trou noir équivaut en quantité de matière
à l’équilibre des masses célestes de l’ensemble des corps
gravitant autour de son axe. Grâce à sa force colossale de
gravitation intense, cela crée un rapport harmonieux d’équilibre.
Cet accord bien réglé entre la masse astronomique de certains
trous noirs compense également l’action de forces de toute
matière orbitant autour de son centre. Ici, encore une fois, la loi de
l’équilibre des masses célestes prévaut car selon notre formule de
base, il faut seulement ajuster les paramètres.
Prenons l’exemple d’astres célestes (planεtεs)
et d’autres corps célestes (allεlεs) gravitant autour d’un
trou noir :
∑M (astres) + ∑M (AUTRES CORPS)= ∑M (trou noir)
M = MASSES
La force d’accélération gravitationnelle est inversement
proportionnelle aux forces gravitationnelles des corps célestes qui
le composent. Ce rapport est donc neutre. Ainsi, leurs sommes en
masse s’égalent.
En bref, c’est la proportionnalité de la force à l’accélération et donc
l’égalité de l’action et de la réaction chez Newton.
Le génie repose sur l’addition de trois postulats formant le
triumvirat : Force, énergie et/ou masse.
En voici, la base fondamentale en physique moderne :
-la loi physique de l’équilibre des forces. (Newton 1642-1727)
-la loi physique de l’équilibre des énergies. (Einstein 1879-1955)
Lorsqu’on examine attentivement la définition du dictionnaire
Larousse sur le mot :«magnétisme», on observe ceci :
-« chacun des atomes d’un corps comportent des charges
électriques en mouvement les «électrons», qui sont sensibles
à l’action d’un champs magnétique extérieur. »(16)
Ce champ magnétique extérieur est constamment en mouvement.
Ce rythme d’attraction possède une limite
gravitationnelle en vertu de la masse des corps qu’elle influence.
Une plus grande masse influence le comportement d’une plus
petite, et l’équilibre est toujours maintenu en pareil situation.
En cosmologie, l’état de repos d’un corps céleste est admis
lorsque le noyau central d’une étoile, résultant de l’action de forces
électromagnétiques, s’annulent.
(16)Dictionnaire Petit Larousse Illustré 2006, Paris, page 651.
Donc, tout système interplanétaire recherche l’équilibre.
Cet équilibre peut effectivement être fragile, car lorsque le
noyau central ne produit plus assez de gaz d’hélium ou d’énergie,
on assiste à un véritable «chaos.» Résultat, la démonstration de la
transformation d’hydrogène en hélium cesse; c’est le début d’une
phase ou d’un certain déséquilibre et une sorte de réorganisation
de la matière. État physique dans lequel, il y a effectivement un
désordre. Ce cycle cosmologique se termine et un autre prend
place. Tout commence et recommence. Un cycle explosif
où l’équilibre gravitationnel est brisé et éternellement refait.
L’explosion thermonucléaire d’une telle masse produit un nouvel
ordre cosmologique que l’on peut effectivement énumérer ainsi;
par exemples, la formation d’un trou noir, la création d’une autre
étoile à «neutrons», une formation nouvelle d’une naine blanche
ou la réaction thermonucléaire d’une super étoile, le soleil.
Ce cycle éternel de transformation de la matière obtient la nouvelle
cote, l’équilibre. Bref, on observe que la masse céleste
s’harmonise entre elles de plus belles et voilà que c’est reparti.
On assiste au retour à la formule de départ de l’équivalence des
masses célestes
:« ∑M (planεtεs) + ∑M (allεlεs)= ∑M (soleil) »
D’un cycle dit solaire dans un cosmos infini.
Extrapolons un peu, si vous voulez bien, si le postulat des masses
célestes s’applique en astronomie à tout système
solaire, il est effectivement plausible
d’infirmer cette hypothèse. Le noyau central d’une
galaxie est d’égal valeur en masse à l’ensemble des amas
de galaxies composés d’étoiles, de systèmes solaires, de
planètes, de trous noirs, de supernovas, d’astéroïdes, de comètes,
de météorites, et de toutes autres matières ou poussières
intergalactiques. Donc, le noyau central galactique opère selon la
même loi cosmique de la même manière à briser ou à
maintenir le rythme, l’équilibre galactique. Le processus se
poursuit à l’infini. Cette physique cosmologique en astronomie
demeure permanente, parfaite, et s’applique à tous les cas. Si on
dépasse de peu ce continuum «espace-temps», on bifurque vers
l’apologie d’une autre science des plus passionnantes,
la métaphysique.
Lorsque la métaphysique impose sa loi.
De la cosmologie à la métaphysique, il est métaphysiquement
plausible d’expliquer ce que les Écritures Saintes enseignent dans
le livre sacré de l’Apocalypse. Prenons ici un exemple, Apocalypse
21, les versets 1 à 27 lorsque la Bible cite l’apparition de nouveaux
Cieux et d’une nouvelle Terre. L’énergie cosmique précédente
étant effectivement épuisée, cette réaction produira un nouvel
équilibre après le chaos donc «de nouveaux Cieux et une
nouvelle Terre.»(17)
Véritable métaphore pour décrire l’éternelle évolution de galaxies.
(17)La Bible. Nouveau Testament Thompson, version Louis Second, Éditions Vida, Floride, 1990
Du déséquilibre à l’équilibre, vers une mutabilité nouvelle. Les
Écritures Saintes nous révèlent l’arrivée de nouveaux Cieux, d’un
Nouvel ordre cosmologique créé d’un chaos qui est la formation
de nouveaux Cieux et l’apparition d’une Terre nouvelle. Illustrons
ceci par un court extrait :
-« Je vis un nouveau ciel, et une nouvelle terre; car le premier
ciel et la première terre avaient disparu. » Apocalypse 21
Voilà une première explication de l’équilibre galactique. Ce qui
arrive après ressort du domaine métaphysique et quitte en ce qui
me concerne le domaine scientifique pour la foi.
Ainsi, plusieurs scientifiques devraient toujours avoir l’esprit ouvert
lorsqu’il s’agit du domaine métaphysique.
Car, la métaphysique n’est que son prolongement.
Voilà le cycle cosmologique se termine par une suite de
transformations où le soleil se consume et les étoiles brûlent
toutes leurs réserves d’énergie d’hydrogène en hélium jusqu’à
pleine extinction ou consommation.
On assiste à la dégradation ou la désintégration du noyau solaire
où le «graviton et le neutralino» disparaissent en énergie
thermonucléaire. Une intensité nucléaire se produira, on assistera
à la mort du noyau atomique d’une étoile et le processus sera
irréversible. L’hydrogène sera entièrement consumé en hélium, le
soleil et la lune auront perdu leur carburant initial. Constat, les
étoiles de la Voie Lactée se meurent mais c’est leur fin
qui nous fascine.
Qu’arrive-t-il après?
La réponse se trouve au chapitre 21, verset 1 dans
le livre de la Bible dans l’Apocalypse.
Le vide se comble rapidement dans l’espace. Cette fois-ci,
l’événement qui suit « l’après » n’est point assimilable en
ressemblance à une gigantesque explosion du style « BIG BANG
», mais le refroidissement brutal de la fin du cycle cosmologique.
Cela produit l’effet sous vide attirant un corps céleste avec son
noyau central atomique déjà bien constitué en harmonie avec son
nouvel environnement.
Les «gravitons et les neutralinos» seront déjà combinés
ensembles par la naissance d’un équilibre des masses célestes
comblant un tel vide céleste. Mais, à l’exception que les planεtεs
n’orbiteront plus jamais autour d’un noyau constitué d’hydrogène
et d’hélium. Ce nouvel ordre sera permanent.
Où et comment s’effectueront l’équivalence des masses célestes?
Heureusement, la réponse se trouve au chapitre 22, verset 5 de
l’Apocalypse :
« La nuit ne sera plus, et ils n’auront besoin ni de la
lumière d’une lampe, ni de la lumière du soleil, parce que
le Seigneur Dieu les éclairera. Et, ils règneront aux
siècles des siècles. » Apocalypse 22 : 5. (18)
L’équilibre des masses célestes sera engendré grâce à un noyau-
centre que la métaphysique surnomme amicalement un continuum
appellé le « ROYAUME DES CIEUX ou monde
parallèle»
(18) La Bible. Nouveau Testament Thompson, version Louis Second, Éditions Vida, Floride, 1990.
L’eschatologie, science qui enseigne que le noyau-
centre sera effectivement constitué par « Dieu, la Lumière. »
Dogme théologique décrivant l’évolution consécutive à la fin du
cycle présent.
D’un nouvel ordre naîtra une nouvelle terre, constituée d’un
nouveau ciel. Un continuum absolument différent de
l’Univers cosmologique que l’on connaît maintenant. En bref, il y
aura un noyau-centre où gravitera un seul électron libre nommé,
la Terre Nouvelle.
« La Ville n’a besoin ni du Soleil ni de la lune pour y briller,
car la Gloire de Dieu l’éclaire, et l’Agneau est son Flambeau. » Apocalypse 21: 23. (19)
(19) La Bible. Nouveau Testament Thompson, version Louis Second, Éditions Vida, Floride, 1990.
Papa, pourquoi la terre tourne-t-elle autour du soleil ?
Partant de l’hypothèse suivante, si notre Soleil est le centre
de gravité électrofaible de la Voie Lactée, on peut facilement
extrapoler que tous les amas de galaxies de l’Univers
gravitent autour d’un centre où toute masse
d’énergie est parfaitement stable et équilibrée.
L’Apôtre Jean, décrit la scène comme-ceci : (20)
-«Aussitôt, je fus ravi en esprit. Et voici qu’il y avait un trône
dans le ciel, et sur ce trône quelqu’un était assis. Celui qui
était assis avait l’aspect d’une pierre de jaspe et de sardoine,
et le trône était environné d’un arc-en-ciel qui avait l’aspect de
l’émeraude.»Apocalypse 4 : 2-3.
À une distance de 10e21 km du Soleil de la Voie Lactée, il existe
des amas de galaxies. Ces amas de galaxies gravitent autour d’un
(20)Jean l’évangéliste : Mort à Éphèse en 100 (après-Jésus-Christ). Apôtre de Jésus. Frère de Jacques le Majeur. La tradition fait de lui l’auteur de l’Apocalypse, de trois Épîtres et du 4e évangile.
noyau central que l’on peut imaginer par le terme
métaphysique : Royaume des Cieux ou monde parallèle.
Ce monde parallèle représente le quartier général en quelque
sorte de l’ensemble de la matière galactique gravitant autour d’un
axe, sous forme d’arc-en-ciel à 360o en équilibre.
Partie centrale et la plus dense d’une série d’amas de milliards de
galaxies où se déroulent les réactions thermonucléaires où
l’énergie est maximale, parfaite et divine. C’est l’endroit le plus
volumineux en densité, en volume, et en énergie. Ce lieu est
l’endroit le plus lumineux révélé. Son équilibre est
absolu. Cet État balance les masses de tous les corps célestes
découverts ou à découvrir. Toujours en harmonie
selon la formule de l’équivalence des masses célestes ;
∑M (amas galactiques) + ∑ M (AUTRES CORPS CÉLESTES)=
∑M (Royaume des Cieux ou monde parallèle)
M = MASSES
La masse du centre équivaut à la masse totale extérieure.
Je mets au défi n’importe quel mathématicien, astrophysicien,
astronome ou théologien de me prouver le contraire. Voilà, la
nouvelle interaction fondamentale de la physique postmoderne.
Bref, un endroit métaphysique véhiculant l’équivalence des
masses célestes et l’interaction gravitationnelle de l’Univers
D’Einstein De Sitter(21). Cependant un endroit bien réel pour la
métaphysique dite moderne.
(21)Willem De Sitter : Né à Sneek en 1872. Mort à Leyde en 1934. Astronome et mathématicien néerlandais. L’un des premiers à appliquer la théorie de la relativité à la cosmologie. Il a montré en 1917 que le modèle statique d’univers proposé par Einstein n’était pas le seul concevable.
Papa, pourquoi la terre tourne-t-elle autour du soleil ?
«Est-ce que notre soleil s’éteindra-t-il en même temps que des millions d’autres soleils dans l’Univers ?
Posez la question, c’est y répondre. Est-ce possible d’imaginer la
théorie finale en astronomie cosmologique ? C’est une certitude,
l’hydrogène de notre étoile-soleil se transformera en hélium pour
qu’un jour, l’énergie d’un tel astre ne sera plus
renouvelable. Par conséquent, notre astre si brillant mourra
inévitablement. Et, c’est un fait. Évidemment, la situation demeure
similaire, en ce qui concerne les autres millions ou peut-être
milliards d’astres soleils. Sont-ils chronométrés au même rythme
cosmologique que notre propre Soleil de la Voie Lactée ?
Même les âges des étoiles sont tous comptés. Il prendra fin un
jour comme tout être vivant ayant dépensé son énergie
initiale. Donc, est-ce que cet événement irrévocable arrivera-t-il en
même temps ? La philosophie nous enseigne :
Qu’est-ce que le temps pour celui qui vit que par le
temps ? Qu’est-ce que la fin du Soleil pour celui qui vit grâce
au Soleil? Bref, que peut-il faire ? Attendre.
C’est l’allégorie du voyageur qui se déplace toujours de plus en
plus loin en ligne droite sans jamais atteindre la fin à cause de son
manque d’énergie ou son manque de temps. Or, entre vous et
moi, qu’importe de savoir si quelqu’un
trouvera-t-il la réponse finale ? Dans l’étude de l’infiniment petit,
la question se pose: Est-ce que la théorie du «string» ou corde
sensible de vibration entre électrons, entre protons ou neutrons,
est l’une des réponses théoriques du 21e siècle? Théorie avancée
par Gabriel Veneziano au CERN(19), institut de renommé
mondial, dans la recherche de transmission de particules à
l’échelle de l’infiniment petit.
Et quoi qu’il advienne, même si on a la réponse finale. Qu’est-ce
que cela changera-t-il dans l’inévitable destin de l’Univers
où chaque seconde est comptée ? Oui, je crois qu’il existe la
réponse finale qui expliquera la loi en ce qui concerne les lois
naturelles. Certes, est-ce que l’humanité sera-t-elle plus avancée
intellectuellement si il ou elle parvient à trouver la réponse
dite finale? Je pense qu’il faut observer la problématique par
l’autre sens de la lorgnette. Supposons que nous
sommes à des Années-lumière de notre propre extinction. Peut-
être la réponse à nos interrogations provient de l’extérieur à notre
propre Univers ? Est-il possible d’envisager une telle affirmation
finale proviendra d’un individu qui ne peut rien y faire de toute
façon? Il faut être humble pour se tourner vers l’extérieur, et priez
le Créateur de nous révéler un brin de Sa réponse
finale. Toutefois, qui est-on pour oser interroger l’Être Suprême sur
la question existentielle si fondamentale ? Je suis
convaincu comme le fondateur de l’institut célèbre du
CERN(22) que la réponse finale viendra de l’extérieur. En voici, la
citation :
(22) Cern : Organisation européenne pour la recherche nucléaire et laboratoire pour la physique des particules. Il est implanté à Meyrin (frontière franco-suisse). Il a construit et exploite un ensemble d’accélérateurs de particules; prenant la suite d’un grand collisionneur d’électrons positrons.
-« (…) car les puissances des cieux seront ébranlées. » Luc 21 : 26
Je n’invente aucunement la roue lorsque j’affirme que tout amas
de galaxies gravite autour d’un noyau central environné d’un arc-
en-ciel à 360 o degré où l’énergie gravitationnelle est inversement
proportionnelle à l’ensemble des masses célestes de l’Univers. Il
est en quelque sorte le nôtre et où toute vie est effectivement
possible, néanmoins où le temps est absolu. Humblement, tout
est déjà écrit, et beaucoup restent à découvrir.
J’ai toujours conçu que la métaphysique précède toujours la
physique. Que la réponse finale aux lois de
l’infiniment petit comme aux lois de l’énergie de Planck explique
les lois physiques de l’infiniment grand de l’Univers. Il est parfois
rassurant de savoir que l’on progresse
vers la découverte de la théorie finale en mécanique quantique. Et
que la théorie du «string», est peut-être le début promettant d’une
première piste de solution. Cette théorie finale nous ouvrira peut-
être les yeux sur quelques explications scientifiques où le domaine
métaphysique des SAINTES ÉCRITURES nous avait déjà avertis.
Il y a deux mille ans passés. Chaque siècle suivant fut une
chaîne de révélation, un maillon de plus dans notre ignare
obscurité. De penser voir lorsque nous avons le nez collé sur l’arbre et
s’obstinant d’avouer qu’on est des êtres ayant une parfaite vision
sur un plan global qui dépasse toute espèce d’imagination serait
une affirmation orgueilleuse. Même si, tout semble, si
logique.L’équation est là, mais on ne l’a voit pas. La fin, on la connaît,
néanmoins on ne la croit pas. C’est évident que l’on procède à
tâtons sur le succès ou l’échec de lois scientifiques sur plusieurs
siècles d’histoire qu’on n’oublie parfois que la réponse est déjà
sous nos yeux. Pourquoi ?
Parce que le Christ nous a enseigné les faits tels qui devront se
dérouler tout au long de notre courte histoire face à l’éternité.
J’aime la définition anglaise du célèbre physicien du 20e siècle, le
Juif STEVEN WEINBERG, dans son célèbre livre :
«Rêve d’une théorie finale»
En voici, un extrait en français :
- «La théorie finale est comme un morceau fin de fine porcelaine - - qui ne peut se manipuler sans égratignures, Dans ce cas, - - malgré que la théorie finale peut s’avérer fausse ; on va - - comprendre la pure base de la mathématique et de la logique à - - savoir pourquoi la vérité est-elle un peu différente. » (23)
Enfin, Christ nous a tous avertis. La théorie finale sera une en
parfaite harmonie avec les enseignements du Seigneur. Que la
mathématique, que la formule scientifique, et que
l’observation cosmologique se résumeront à la conception d’une
simple formule finale où l’intérieur saura respecter l’extérieur.
(23)Steven Weinberg: Née à New-York en 1933. Physicien américain. Sa théorie électrofaible(1967) permet d’unifier l’interaction électrique.